Quand vous plongez dans la plus grande aventure, il y a toujours quelqu'un pour vous déranger... [Pv Libre !]

Quand vous plongez dans la plus grande aventure,
il y a toujours quelqu'un pour vous déranger...

J'étais tranquillement installé sur mon lit, dans ma blanche blanche et noir où s'affrontaient chaque jour la lumière et l'obscurité. Mes doubles rideaux étaient ouverts, laissant filtré la douce lueur de la lune montante et celle plus lointaine des étoiles. Les cours d'Astronomie me permettait de connaitre les noms, les caractéristiques et la puissance des étoiles. Je souriais.
Allongée, je saisis le livre posée sur ma table de nuit, depuis qu'Alliahn avait disparue, j'envisageais de refaire toute la décoration avec des couleurs plus vives. J'ouvris le livre, tournais la page de garde, puis la deuxième ou il y avait un mot de Nayel, je tournais les page jusqu'à trouver le premier chapitre...

L'ombre de la Lune chaude

Elle avait cinq ans la première fois qu’elle vit une Armure. Comme à chaque nouvelle lune chaude, elle avait accompagné ses parents au palais pour le Symposium. Elle détestait ces interminables réunions durant lesquelles les Robes les plus influentes du royaume dissertaient sur l’avenir des douze cités mais sa mère se montrait inflexible quant à sa présence, et son père, indolent partisan du confort domestique, lui donnait toujours raison. Ce jour-là toutefois, la duègne chargée de la surveiller s’était endormie sur sa chaise et elle avait réussi à se faufiler hors de la salle des Hypothèses sans que personne la remarque.
Elle avait emprunté un couloir aussi large que sa chambre, caressant les murs lambrissés de bois précieux, observant avec défiance les tableaux de femmes
imposantes et d’hommes sévères, tous des Robes, qui y étaient accrochés, admirant les vitrines et les legs des Anciens qu’elles abritaient. Un bruit de voix l’avait arrachée à la contemplation d’un cône métallique environné d’un nuage de particules bleutées en suspension.
Elle n’avait pas envie qu’un Cendre la raccompagne à ses parents, encore moins envie qu’une Robe l’interroge sur les raisons de sa présence en ce lieu. Elle s’était donc glissée dans un étroit corridor latéral puis, attirée par la lumière du jour à son extrémité, elle s’y était enfoncée.
Le corridor débouchait sur un balcon dissimulé dans la façade du palais de façon à ce que celui qui s’y tenait puisse voir sans être vu. Il surplombait une cour écrasée de soleil que balayaient, lune chaude oblige, des rafales de vent sec en provenance du désert...

C'est à ce moment là, quelqu'un frappa à ma porte...

Grace avait décidé d'aller voire Lyna. Cette décision avait été prise alors qu'elle était seule, les pieds sur son mur en poirier, les mains sur son lit. Réfléchissant dans cette position plus qu'étrange, elle voulait questionner Lyna sur quelques petites choses d'ordre... personnels. Elle avait beau être la garce de lycée, elle avait besoin de savoir. De savoir comment la transformation aller se passer, si elle allait survivre.. toutes ses choses incertaines. Et même si Lyna n'avait surement aucune réponse a cela, elle pourrait peut être la rassurer... Depuis quand était-elle inquiète d'ailleurs? Grace rejeta ses cheveux en arrière machinalement en sortant de sa chambre et en se dirigeant vers celle de Lyna. Plus elle vieillissait, plus elle se sentait en danger et cette sensation était horrible pour une fille pourrie gâtée qui pouvait payer soixante gardes du corps si elle le désirait. La maison de la nuit était le seul endroit ou tout aller bien. Une maison, reposante.. Mais que ce passerait-il si elle quittait cette maison vers l'inconnu? Tout le monde la prendrait-ils toujours au sérieux?

Grace était simplement vêtu d'un jogging et d'un t-shirt prit a la vas-vite, ses cheveux n'était pas coiffée et de gros cernes s'étalaient sous ses yeux. Elle savait que personne n'était là pour la voir mais elle avait honte d'elle-même. Comment pouvait-elle se laisser aller autant? Chassant toutes ces interrogations de sa tête, elle frappa a la porte de Lyna, se demandant qu'elle sera sa réaction quand elle découvrira Queen G, dans ces habits, frappant a sa porte, deséspérée.

-Lyna?... C'est Grace.

Il arrivait souvent que quelqu'un frappe à ma porte, on venait pour me demander de l'aide, des conseils, pour me prévenir de certaines choses, pour se confier... J'étais les oreilles de tout le monde et la langue sage de ceux qui en avait besoin même parfois je n'avais pas de réponse et parfois j'avais besoin de réponses...

Je me levais et posais distraitement le livre sur ma table de chevet, sans mettre de marque pas, après tout, je n'était qu'au prologue. En me dirigeant vers la porte j'entendis:
-Lyna?... C'est Grace.
Grace ?! Etrange, elle venait très rarement frapper à ma porte, pour ainsi dire jamais. De plus, il y avait quelque chose d'étrange dans sa voix, elle était moins portante que d'habitude, atténué, comme si elle avait quelques souci. Encore plus bizarre. Quenn Grace aurait-elle un problème qu'elle ne serait résoudre pour s'abaisser ainsi à venir me voir ?
Je n'avais pas à la juger, beaucoup de monde la trouvé prétencieuse et superficielle. Peut être. Seulement, depuis notre premier rituel, j'avasi compris qui se cachait derrière sa forte personnalité. En fait, j'étais la petite seconde année qui aimait tout le monde. Parfois je me sentais pittoyable.

J'ouvris la porte et découvrit une Grace dénaturé, elle était toujours impeccable, très mode sauf aujourd'hui. Pas coiffée, fatiguée, vêtue d'un jogging, elle était en piteux état par rapport à d'habitude. Je regardais dans le couloir. Personne. Au moins sa réputation ne serait pas amoché.
-Entre. Répondi-je en lui pressant l'épaule mettant dans ce geste toute la gentillesse que je pouvais.
J'attendis qu'elle soit prête à parler...

Lyna la dévisagea un instant mais elle ne fit aucun commentaires, ce dont Grace lui était reconnaissante. C'était tout Lyna ca, très classe et jamais de curiositée déplacée. La reine de la maison de la nuit secoua la tête, faisant bouger ses cheveux en tout sens, comme un chien sortant de l'eau.

-Entre, lui dit Lyna d'un ton conciliant en mettant une main douce sur son épaule.

Grace s'executa et un silence s'installa entre les deux femmes. Pas un silence gênant, ou on ne sait pas quoi dire, non, un silence où on sait qu'on partage quelque chose.. Où se taire n'est pas une alternative mais un devoir. Après quelques minutes, (mais peut-être était-ce des secondes?), Grace s'exprima.

-Si je voulais te parler, c'était pour te demander quelque chose de personnel.. et je sais que tu es la seule qui ne me jugeras pas.

Elle planta ses yeux bleus-gris dans ceux, beaucoup plus chaud de Lyna.

-As-tu peur de la transformation?

-Si je voulais te parler, c'était pour te demander quelque chose de personnel.. et je sais que tu es la seule qui ne me jugeras pas. As-tu peur de la transformation?

Aucune moquerie dans sa voix, aucune ironie, elle était sérieuse et j'avais l'impression de déceler dans sa voix, une note d'angoisse mélé de curiosité... La Transformation, combien de fois avais-je méditais sur ce sujet, surement de longue journée en m'en donner la migraine.
Je fixais un point dérrière Grace, un cadre, avec une photo de mes dernières vacances. Ma mère, mon père, Pierre et moi, tout simplement heureux comme une bonne famille à Londres, oubliant la menace de la Transformation, taisant les malheureuses possibilités...

-...Oui. Hésitais-je. A quoi bon mentir ? Préfériez vous un mensonge qui pourrait vous trahir ou une vérité qui pourrait s'effacer ? Oui, j'ai peur. J'ai peur parce que je n'ai aucune certitude sur aboutissement de cet évènement. J'ai peur parce que les gens m'assure que je réussirais: "Tu as trois affinités et un don ! Alors tu y arrivera, si tu n'y arrive pas moi non plus alors..." En fait c'est comme au collège, tous me didaient que j'aurais mon brevet juste parce que j'avais 17 de moyenne...

Je soupirais, tout ses personnes étaient stupides, après tout, j'étais encore humaine et échouer, se tromper était humain.
-C'est se qui te tracasse n'est-ce pas ? Tu as peur de ne pas réussire ta transformation ? Demandais-je en plongeant mes yeux marron dans ses yeux froids...

Lyna fixa un point derrière l'épaule de Grace avant de répondre. Cette dernière se retourna imperceptiblement pour appercevoir une photo de Lyna avec ce qui devaient être ses parents, ainsi que Pierre Dawson, le professeur d'anglais réputé de la Maison de la Nuit. Puis, Lyna répondit :

-...Oui. Oui, j'ai peur. J'ai peur parce que je n'ai aucune certitude sur aboutissement de cet évènement. J'ai peur parce que les gens m'assure que je réussirais: "Tu as trois affinités et un don ! Alors tu y arrivera, si tu n'y arrive pas moi non plus alors..." En fait c'est comme au collège, tous me disaient que j'aurais mon brevet juste parce que j'avais 17 de moyenne...

On sentait le doute dans sa voix, elle réfléchissait en même temps qu'elle parlait à Grace. Elle soupira et reprit par une question :

-C'est se qui te tracasse n'est-ce pas ? Tu as peur de ne pas réussire ta transformation ?

Grace acquiesa. De toute façon, Lyna le savait, c'était plus une affirmation qu'une question a laquelle on attendait une réponse. Grace secoua sa chevelure blonde et continua de fixer Lyna dans les yeux..

-Toute ma vie se passe a la maison de la nuit.. Tu sais, je n'ai pas toujours été une garce, une enfant gâtée oui, mais pas une garce. Ma mère est morte. Mon père est au chômage et a du vendre toutes nos maisons, tous mes vêtements ne datent plus que du temps où l'on été encore riche.. J'ai déjà perdue tellement, je ne supportais pas de continuer dans cette direction.. La mort ne me fait pas peur. Vraiment. Pour un esprit pratique comme le mien, c'est juste une constatation. C'est plutôt l'après transformation. Que deviendrais-je? Sans mes suiveuses, ma belle tête et mes beaux vêtements, sans parents pour me pistonner, que vais-je bien pouvoir faire de ma vie?
Elle était en pleurs. Les larmes coulées sans qu'elle s'en rende conte, c'était des larmes d'hystéries. Elle aurrait voulu ne jamais avoir eu cette marque, quitter cette école, redevenir humaine...

Elle acquiesa. Qui aurait que la grande Queen Grace avait peur de sa transformation. Personne et pourtant, c'est ce qui la rendait "humaine", elle n'était pas une garce, du moins pas toujours...

-Toute ma vie se passe à la maison de la nuit... Tu sais, je n'ai pas toujours été une garce, une enfant gâtée oui, mais pas une garce. Ma mère est morte. Mon père est au chômage et a du vendre toutes nos maisons, tous mes vêtements ne datent plus que du temps où l'on été encore riche.. J'ai déjà perdue tellement, je ne supportais pas de continuer dans cette direction.. La mort ne me fait pas peur. Vraiment. Pour un esprit pratique comme le mien, c'est juste une constatation. C'est plutôt l'après transformation. Que deviendrais-je? Sans mes suiveuses, ma belle tête et mes beaux vêtements, sans parents pour me pistonner, que vais-je bien pouvoir faire de ma vie?

Elle venait de tout déballer, sa vie, ce qui se cachait derrière, pourquoi elle était comme ça et ce qu'elle taisait à tout le monde: une vie banale comme tout le monde avait, avec ses hauts et ses bas. Je ne comprenait que trop bien ce qu'elle disait, non pas que partageait la même vis mais presque. Même si mon père était aisé, ma mère n'avait jamais voulu profiter de son argent et avait enchainé des petits boulots par-ci par-là pour subvenir à nos besoin, se privant pour moi...

Grace pleurait, j'avais de la peine pour elle, pas de la pitié parce que la pitié était un sentiment que je trouvais pittoyable. Je m'avançais et la forcait à s'assoir sur mon lit.
-Le futur dont tu as peur n'arrivera pas, tu sais. Tu es brillante, tu as une affinité avec le feu, je suis sure que tu deviendras prêtresse. Et puis, j'ai su que le campus offrait des bourses d'études, des postes d'intérimaire se libère: la gérante de la boutique prend sa retraire et crois moi, des vêtements avec un peu plus de classe ne nous fairais pas de mal, dis-je en souriant. Il y bibliothécaire, assitante en astronomie, tu pourrais travailler à la cafét'... Je ne sais pas moi ! Mais je suis sur que tu trouveras une solution. Et pourquoi ne deviendrais-tu pas mannequin ? Tu superbe, je suis sure que tu serais engagée ! Repris-je.

Parfois, je parlais beauoup, sans m'en rendre compte, et là c'était le cas !

-Le futur dont tu as peur n'arrivera pas, tu sais. Tu es brillante, tu as une affinité avec le feu, je suis sure que tu deviendras prêtresse. Et puis, j'ai su que le campus offrait des bourses d'études, des postes d'intérimaire se libère: la gérante de la boutique prend sa retraire et crois moi, des vêtements avec un peu plus de classe ne nous fairais pas de mal. Il y a bibliothécaire, assitante en astronomie, tu pourrais travailler à la cafét'... Je ne sais pas moi ! Mais je suis sur que tu trouveras une solution. Et pourquoi ne deviendrais-tu pas mannequin ? Tu superbe, je suis sure que tu serais engagée !

Le flot de parole continue de la bouche de Lyna l'aurait agacé en temps normal, mais pour l'heure, elle trouvait cela plutôt rassurant, comme un signe de vitalitée qui montrait que son heure n'était pas venue. Grace n'aurait pas su expliquer pourquoi ce sentiment l'avait frappé avec temps de force, mais elle savait que les paroles de Lyna y était pour beaucoup.
Elle ne s'était même pas rendu conte que Lyna l'avait assise sur le lit et Grace essuya ses larmes avec un petit sourire..

-Tu as raisons.. c'est idiot de douter de toute ses choses mais je me demande.. j'ai été affreuse avec tellement de gens. Qui serat-là pour me pleurer si je venais à mourrir?

Elle se mordillait la lèvre. Elle connaissait déjà la réponse. Personne. Appart ceux qui auraient pitiée, en ce demandant pourquoi elle avait été comme ça.

Après que j'eus éteint mon flot de parole, Grace essuya ses larmes. Apparement mes mots avaient fait leur effet bénéfique, elle allait un peu mieux. C'est bien, mais il y avait encore quelques points non néglieable à régler.
-Tu as raisons.. c'est idiot de douter de toute ses choses mais je me demande.. j'ai été affreuse avec tellement de gens. Qui serat-là pour me pleurer si je venais à mourrir?

Affreuse était le mot, c'est sure. Elle avait vraiment été dégueulasse et impossible parfois. Cependant ceux qui savaient qui elle était derrière cette facette pouvaient très bien comprendre pourquoi elle se conduisait comme une garce.
Dans ma réflexion j'avais l'impression de me répétait à chaque fois. Pourquoi ne comprenait-elle pas ? Elle était qui elle était, point barre...

-Eh... bien même ça peut paraître stupide, moi je serais là pour pleurer, tu me connais je pleure à chaque fois qu'il y a un mort même quand je bouquine. Et il y aura Chuck. Puis, tout le monde dis toujours du bien de personne décédée même quand c'était les pires ordures...

Puet-être que je m'enfonçais là, même tampis, je voulais juste que la Grace forte et imbatable reviennent au lieu de se noyer...

-Eh... bien même ça peut paraître stupide, moi je serais là pour pleurer, tu me connais je pleure à chaque fois qu'il y a un mort même quand je bouquine. Et il y aura Chuck. Puis, tout le monde dis toujours du bien de personne décédée même quand c'était les pires ordures...

Grace releva la tête comme si on l'avait gifflé et se regarda dans un mirroir de la chambre de Lyna. Sale, jogging, cheveux attachés en un chignon. Ho mon dieu, furent les seules pensées qui réussirent à ateindre son esprit maniaque et névrosée.
Enfin, elle releva le menton et reprit son air hautain, sa facade protectrice.

-Tu as raison après tout, je n'ai pas besoins de ploucs comme vous à mon enterrement, Chuck me suffira. Et surtout ne pleurs pas quand je mourrerais, tu as une tête horrible quand tu pleures, ca me rappelle un croisement entre un chien enragée et une poule galeuse hypopondriaque.

Elle la toisa et détacha ses cheveux, passa une main dedans, froncant les sourcils en remarquant qu'ils étaient tout gras.

-Et puis dit à Elia de ne pas venir a mon enterrement, elle craint et gacherait les funerailles.

Elle fut tout d'un coup beaucoup plus joyeuse dans sa méchancetée.

Grace se releva d'un bond, tellement vite que je failli pousser un petit cri. Elle se regarda dans un des miroirs que je possédais. Et changea d'esxpression, port altier et hautain, regard supérieur et dédaigneux. Grae était revenu, Queen Grace reprenait ses droits, il était temps.

-Tu as raison après tout, je n'ai pas besoins de ploucs comme vous à mon enterrement, Chuck me suffira. Et surtout ne pleurs pas quand je mourrerais, tu as une tête horrible quand tu pleures, ca me rappelle un croisement entre un chien enragée et une poule galeuse hypopondriaque.

J'aurais presque rit si le retournement de situation ne m'avais pas cloué le bec. Apparement, elle n'était plus prête à ce laisser abattre... "Un chien enragé ?" Mais de toute façon qui savait pleurer dignement quand son coeur était vraiment en berne...
Je m'efforcerais de ne pas pleurer, peut être que toutes les méchancetées qu'elle avait proférées m'y aideraient.

-Et puis dit à Elia de ne pas venir a mon enterrement, elle craint et gacherait les funerailles. Ajouta-t-elle.
Je ne me retint pas de pouffer, je savais que Grace n'aimait pas cette dernière et pour ma part je m'efforcais de ne pas la juger, ni elle ni personne. Même si je devais reconnaître que ce mariage était stupide, avait-elle non seulement pensé au conséquence...

-Promis, répondis-je, si tu ne viens plus dans ma chambre pour y pleurer.

Lyna était surprise que Grace ce soit levée d'un coup. Cette fille était aussi prévisible qu'un épisode de plus belle la vie. Néanmoins, sa réponse surprit Grace :

-Promis, si tu ne viens plus dans ma chambre pour y pleurer.

C'était tout à fait le genre de truc qu'aurrait pu répondre Queen G ! Peut-être qu'elle avait sous-estimé la dirigeante des filles de la nuit finallement... Mais Grace décida de le prendre bien. Après tout, Lyna l'avait aidé a redevenir fidèle à elle-même.

-Ne t'inquiète pas, ca ne se reproduira plus.

Elle regarda autour d'elle en plissant le nez, se dirigeant vers la porte.

-Je crois que je vais faire venir quelqun parceque cette décoration tient du supplice visuel.

-Ne t'inquiète pas, ca ne se reproduira plus. Répondit-elle.
Enfin, elle se dirigea vers la porte, jetant avant un coup d'oeil désaprouvateur sur la décoration de ma chambre. Blanc et Noir. Terne.
-Je crois que je vais faire venir quelqun parce que cette décoration tient du supplice visuel.Ajouta-t-elle.
Grand bien lui fasse, elle pouvait, si elle ne me mettait pas des tentures rose et du mobilier de famille riche. Il était vrai que je devais refaire la décoration. J'envisageais une nuance de vert et chocolat. Mon oncle qui était artisan peintre se chargerait de cette tache. Mon père payerais le matériel et tout le tralala...

Je haussais les épaules, et refermais la porte derrière elle. Enfin un peu de tranquilité. Je regardais le réveil. Et zut, j'irais bientôt déjeuner et il ne me rester que quelques minutes pour profiter de mon livre. Quelques minutes suffisantes pour me plonger dans cette aventure formidable...

[Fini]

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