Parents Night & Revelations [PV Tous]

Rappel du premier message :

Parents Night & Revelations [PV Tous] - Page 2 Npr_2110

Aujourd'hui comme parfois, nous recevions les parents de nos élèves, des parents qui avaient pour la plupart dépassé leur frayeur ou leur préjugés sur les Vampires quand leur enfants avaient été marqué. Bien sur, ce n'était pas le cas pour tout le monde, c'était une Nuit de joie, de retrouvailles, de discussions aussi. Pour la plupart des novices, c'était l'occasion de revoir leur parents, de prendre des nouvelles, d'être rassuré et de passer un semblant de temps en famille. Malgré tout, il y avait toujours des novices dont les parents ne pouvaient pas venir ou ne viendraient jamais, pourtant ceux-ci n'étaient pas mis à l'écart. Généralement ils restaient avec leur camarades et leurs parents et cela se passait relativement bien, permettant de créer des liens ou d'enfin rencontrer les personnes dont vous aviez entendu parler...

Aujourd'hui donc, j'inspectais les derniers détails avant la grande heure. Un buffet avait été dréssé, autant pour les élèves que pour leur parents: Toasts, verines, petits sandwichts, boissons, tel un apéritif géant. Le tout bien entendu très décoré, dans une présentation parfaite et coloré. Un régal pour les yeux que les bouches ne tarderaient pas à goûter. Il refectoire était d'une propreté étincelante, une grande partie des tables avaient été repoussé ou utilisé pour le buffet. Les parents préférants souvent rester debout. Il y avait bien sur quelques fauteuils moelleux, des chaises et des petites tables rondes. On trouvés aussi de nombreux portes-manteaux pour les personnes désirants ne pas trop s'encombrer.
La Statue de Nyx avait été placé derrière le buffet, je n'aimais pas trop le fait de l'avoir bougé mais une année une femme avait failli la renverser... C'était donc plus prudent...
On trouvé enfin, une petite estrade au bout, sans micro. Tout était près, les professeurs arrivèrent un à un, parmi eux, Cerridwyn, toujours aussi expressive, Pierre pour qui c'était la dernière journée ici ou encore Kristopher, le nouveau venu. La Nuit été couché depuis deux heures, les élèves descendirent dans le refectoire, trépignant, regroupés en bande tous plus ou moins bien habillé.

Enfin, vinrent les parents, rejoingant leurs enfants, ou leurs proches, des soupirs de soulagement, de joie, des sourires, quelques larmes de bonheur, des bonjour, des accolades, des remerciements... Je pris place sur l'estrade et frappé une fois des mains. Cela suffisait généralement pour attirer l'attention, comme aujourd'hui:

"Bonsoirs à tous ! Mesdames et Messieurs, parents, nous vous remercions de venir en cette heure pour la Nuit des Parents. Nous savons que c'est une heure plus ou moins surprenante pour vous, mais comme vous le savez, nous fonctionnons ainsi, c'est pourquoi nous vos remercions amplement d'être présent ce soir.
Comme vos enfants vous ont surements expliqué, notre Maison se remet doucement d'une horrible histoire et tout a été fait pour garantir la sécurité de vos enfants ou de vos personnes. Nous tachons bien sur d'éclaircir ce mystère et ne manquerons pas de vous tenir au courant. Néanmoins, je tiens à vous assurer que tout va bien... D'ailleurs, cette Nuit est une soirée de joie, de retrouvailles pour tous, nous vous souhaîtons donc une agréable soirée. Merci encore !"

C'était un discours banal, pas vraiment rassurant mais c'était concis, je ne voulais pas trop apesantir les retrouvailles. Avec un grand sourire, je me mélais aux gens laissant le brouhaha ambiant de ce genre de soirée reprendre le dessus...

Les autres familles arrivèrent. Là se mélangeaient les poignets de mains, les embrassades et les mots de bienvenue… Je notai le regard chaleureux qu’avait eu mon père à Elian, le frère de Naomi. Ils se connaissaient, à coup sur. Mes parents étant profs d’EPS, ce devait être un de leurs anciens élèves. Parfois, le monde est petit… Une fois les présentations faites, Birdy annonça joyeusement :
- Je ne sais pas vous mais toutes ces émotions m’ont donné soif !

C’est vrai qu’un magnifique buffet avait été préparé pour l’occasion… Les Nuits des parents n’étaient pas des événements rares, mais ils étaient les reflets directs de notre société face aux humains. Il fallait donc que tout soit parfait ! Je saisis un carré de chocolat noir et prenant mon verre de café de l’autre main. Je ne pus retenir un sourire en voyant mon père faire le même choix. Entre nous, pas besoin d’un test de paternité pour savoir que nous étions parents. Ma mère, elle, laissait son sachet de thé infusé lentement dans sa tasse. De l’Earl Grey, à n’en pas douter. C’était aussi le thé préféré de Nayel mais je n’avais pas vraiment envie d’y songer… Elle s’était un peu écartée du groupe et regardait avec une attention globale. Elle voyait tout sans rien regardait. C’était dans des instants comme cela que j’étais fière d’être la fille de mes parents !

Au moment où nous revinrent tous dans le groupe, Elian proposait d’aller s'asseoir dans les poufs prévus à cet effet. Une fois assise, je profitais d’une vue sur la salle. De toutes évidences, cette nuit ne se passait pas super bien pour tout le monde. Une tension entre Lune et son père, une scène pathétique entre Démona et un humain, une animation autour du chat d’Elva. Entre nous, les discussions allaient de bon train. Parfois un peu superficielles mais quoi de plus normal : nous venions de nous rencontrer. Au cours d’un blanc, Elian glissa :
- Mais… sinon… pour ce qu’il s’est passé ici… Qu’est-ce que vous en pensez ? Enfin je veux dire, que doit-on faire nous, en tant que familles ?
- Rien. C’était une simple réponse, mais franche. Mais j’ajoutai avec un sourire : juste du soutient…
Mon père, qui avait pourtant était discret pendant la conversation intervint.
- On sait que c’est dur pour vous. Et de notre coté, on est vos parents, on est forcément inquiets. Evidement, nous ne nous plaindront pas à la direction comme certaines familles l’on fait. Mais si on peut réellement faire quelque chose pour vous, on le fera ![

Les présentations faites, chacun au courant des prénoms et liens entre les différents memebres, nous bavardâmes de tout et de rien puis finalement le buffet toujours aussi attrayant nous appella colle le proposa joyeusement Birdy:

- Je ne sais pas vous mais toutes ces émotions m’ont donné soif !

Le buffet était respendissant, encore plus éblouissant que celui d'un mariage qu'un traiteur de renom aurait pu préparer. Mets de toute sorte, buffet froid, chaud, boissons en tout genre, un peu d'alcool, des jus de fruits de tout les genres, des soda, quoiqu'un peu moins présents avec le régime sain que nous imposait le campus, eau gazeuses et dessert de toutes sortes. Chacun se servit, prenant en fonction de ses préférences. Maé prit un verre de café et je souris intérieurement. Ma mère se servit une tisane pomme-canelle pendant que servais un thé du Bonheur, amande sucrée.

Nous nous installâmes ensuite sur des chaises, des poufs ou encore des petits sofa le tout étant la pour le meilleur confort des invités. A la longue cette accumulation de petits soins donnait à la Nuit des parents les allures d'une soirée mondaine. Ma mère m'offrit un sourire, je n'avais pas vraiment grand chose à lui raconter en fait, je l'appelais assez souvent pour la mettre au courant et puis la voir me satisfaisait amplement.
Pour ce petit bonheur presque parfait, cette sérénité s'effaça lorsque le frène de Nao' revint au sujet qui préoccupait tout le monde: le meurtre et les sombres choses qui l'accompagnaient:

- Mais… sinon… pour ce qu’il s’est passé ici… Qu’est-ce que vous en pensez ? Enfin je veux dire, que doit-on faire nous, en tant que familles ?

De but en blanc, avant que je n'ouvre la bouche, Maé répondit:
- Rien ! Puis avec un sourire: juste du soutient…
Son père ajouta:
- On sait que c’est dur pour vous. Et de notre coté, on est vos parents, on est forcément inquiets. Evidement, nous ne nous plaindront pas à la direction comme certaines familles l’on fait. Mais si on peut réellement faire quelque chose pour vous, on le fera !

Cette fois, j'intervins:
-Hélas je crois que malgré toute votre envie et votre détermination vous ne pourriez pas faire grand chose, sans vouloir vous vexer. Dis-je avec un peu sourire. Les fils d'Erebus sont de valeureux combattants et nos professeurs sont très allertes en ce qui concerne cet évènement. Le mieux que l'ont puisse faire c'est d'attendre, je le crains et...

Et je me tus parce qu'un odeur bizarre vient m'irriter les narines, une odeur de pourriture masqué sous un parfum musqué. Et avec cet odeur en horrible présentiment. Je saisi l'avant bras de Naomi, à ma gauche et le serrais fortement avec un long regard...

Birdy se sentais vraiment bien, une fois les présentations faites et sa proposition d'aller vers le buffet pour se rafraichir ou se réchauffer accepter elle indiqua a son père ou pauser tous les cadeaux que sa famille lui avait ramené.
Restant avec sa sœur et Alice elle se servit un grand verre de thé glacer et se servie une part de brownie: jouant la gourmande comme à son habitude!
Birdy chahuter avec sa sœur en parlant garçons les deux jeunes fille avait du temps à rattraper et elles le faisait a merveilles.

Une fois tout le monde servie à sa guise sur ce buffet digne d'un grand cocktail de la haute société, le frère de Naomi proposa qu'on aille tous s'installer dans un petit coin très confortable et prévu à cet effet.
La novice s'installa sur un pouf très confortable avec sa sœur tandis que ses parents s'assirent tous deux sur un sofa pas loin d'elle.

Parlant de tout et de rien et en apprenant à connaître les familles respectives de celles qu'elles considérer comme étant ses nouvelles amies, elle partager son avis, tout en continuant d'embêter Erika sa sœur qui venait de lui avouer qu'elle craquer sur un garçon!

Tout aller bon train quand lors d'un blanc pendant la conversation le frère de Naomi pris la parole en apportant un sujet sensible à la conversation : les derniers évènements qui avait eu lieu à La maison de la Nuit:

- Mais… sinon… pour ce qu’il s’est passé ici… Qu’est-ce que vous en pensez ? Enfin je veux dire, que doit-on faire nous, en tant que familles ?

Même si le sujet était délicat la question avait le mérite d'être claire et d'avoir un but tout à fait légitime!
C’est alors que Maé répondit avec conviction et détermination ce qui surpris et ravi Birdy en même temps. Certes elle ne l’a connaissait que depuis peu mais elle l’avait toujours vu comme une fille timide et calme mais la voir comme cela répondre avec plein de conviction montra a Birdy qu’au fond elle était quelqu’un plein de surprise !

- Rien.: juste du soutient…

Birdy était totalement d’accord avec elle s’est alors que le père de Maé pris la parole à son tour.

- On sait que c’est dur pour vous. Et de notre côté, on est vos parents, on est forcément inquiets. Evidemment, nous ne nous plaindront pas à la direction comme certaines familles l’on fait. Mais si on peut réellement faire quelque chose pour vous, on le fera !

Je ne savais pas trop ou me mettre dans cette conversation a laquelle je ne me sentais que trop peu concerner vu que qu’elle était fraichement débarquer ici. Mais Lyna avait toujours les mots justes depuis qu’elle l’avait rencontré.

-Hélas je crois que malgré toute votre envie et votre détermination vous ne pourriez pas faire grand-chose, sans vouloir vous vexer. Dis-je avec un peu sourire. Les fils d'Erebus sont de valeureux combattants et nos professeurs sont très alertes en ce qui concerne cet évènement. Le mieux que l'on puisse faire c'est d'attendre, je le crains et...

Se coupant d’un coup je ne compris pas trop ce qui ce passer, Lyna agrippa Naomi, elle n’avait pas l’air très bien comme si elle avait perçu une chose que les autres n’était pas capable de percevoir. Pour ne pas inquiéter plus que cela les personne qui les entourait Birdy pris alors la parole.

-On ne peu pas dire que je sois la mieux placer pour parler de ce qui c’est passer ici c’est derniers temps car je viens d’arriver mais je vois bien que les gens ne sont pas très bien, du moins les novices ! Et quoi qu’il se passe réellement le mieux c’est de continuer de soutenir vos enfants pour le reste je pense que les choses qui se passe nous dépassent et que les mieux à même de gérer la situation son comme la dit Lyna les Fils d’Erebus et les professeurs…

Une fois son petit discours terminé Birdy sourit aux personnes qui l’entoura et leva son verre pour trinquer, durant un court instant elle tenta d’interroger du regard Naomi et Lyna qui avait l’air bien perturber. Elle posa son regard sur Maé pour savoir si elle comprenait ce qu’il se passer...

J'entrais dans ce grand batiment qui m'avait autrefois était refusé, je prenais un risque, peut être énorme. Mais je me rassurais en pensant que ma capacité à me téléporter, don peu répandu me permettrait de fuir en cas de souci plus grave qu'une petite bousculade ou un regard de biais....
J'étais vétue d'un veste de cuir neuve et noire, de vêtements pour la plupart neuf, volé / emprunté dans une des nombreuse boutiques pour hommes de Blois. Je me devais, même inconnu passait inaperçut et ne pas me faire remarquer. J'étais donc habillé de la manière la plus sobre et la plus normale. Roxanne avait d'ailleurs incisté sur ce point, pretextant un élément indispensable pour la réussite de ma visite.
Coiffé, cheveux bien tiré en arrière, propre, la peau nette et les dents blanches, le parfait gentleman, homme de ville qui veut se faire bien voir sans trop en faire.

C'était pour Roxanne que je venais, elle avait aborder le souhait de récupérer ses affaires, une condition qui réaliserait ferait d'elle une enfant de Thanatos docile et prête à restée à mes côtés. Nayel, elle n'avait rien demandé, parlant peu et ce contentant de peu à mes côtés... Je venais donc, me présenterais au bout d'un certains temps comme le frère du père de Roxanne, mandaté par sa grand mère de récupérer les possessions de sa petite fille afin d'emporter avec elle, le souvenir du dernier enfant qui lui restait...
Un mensonge mélodramatique qui pourrait attendrir le coeur d'une femme, du moins je l'espérais, au pis aller, je partirais et reviendrais essayer la méthode Arsène Lupin...

Entré dans ce qui semblait être le réfectoire, transformé en salon buffet à l'occasion de la nuit des Parents, comme me l'avait précisé Roxanne. Je me mélais à la foule d'humain qui embammé le sang à plein nez, un crispement de machoir, un refoulement de la fin, et enfin un air neutre sur la situation. Il ne restait plus qu'à trouver une faible femme qui s'attendrirait devant mon histoire préparée, me ferait pénétrer dans l'enceinte et me confirait les précieuses affaires que ma première disciple voulait.
Méconnu, je me fondis dans l'assemblé, en espérant par la grâce de Thanatos de ne pas me faire repérer...

AMBER.W & DÉMONA.W

Il n'en fallut pas plus... En un mouvement Amber décocha une droite à mon ex petit ami, stupide et humain. Celui-si se redressa, ma meilleure amie avait un petit sourire satisfait sur les lèvres, Adrien, son frère s'empara de Thomas et le père d'Amber vint le maîtriser. Je regardais la scène impuissante, Amber avait foutu une patate dans la tête de Thomas et ma haineuse de mère lançait des éclairs avec ses yeux.

Pour ma part, mon expression était de marbre, froide, glaciale. Toutes les émotions me submergèrent d'un coup. La satisfaction de voir un bleu sur le visage de mon idiot d'ex, la joie de voir le visage en décomposition de ma mère, le bonheur d'avoir retrouvée Amma, ainsi que de réaliser la chance extraordinaire que j'ai d'avoir Amber comme meilleure amie. Puis la douleur. La douleur de voir ma mère aussi haineuse et désagréable en vers moi, puis d'avoir revu Thomas, tout ses souvenirs douloureux qui s'accumulent.
Je plongeais mes yeux ambre dans ceux de Thomas. Il me fixa, son regard était étrange, amour, tristesse, douleur, il voulait se faire pardonner. Mon regard devint haineux, jamais je ne le pardonnerai. Puis le souvenir de ses lèvres contre les miennes me fit détourner les yeux.

- Personne ne touchera Démona, cracha, Amber au nez de Thomas,Personne et surtout pas un con aussi merdique et inutile que toi ! Tu n’aurais jamais du venir .

Désormais certains regards s'étaient tournés vers nous, on nous observais. Amber se tourna vers le monstre qui me servait de mère.

- Quand à vous, si vous êtes venue pour martyriser votre fille, la sortie est par là ! hurla-t-elle en désignant du doigt la grande porte. Quel genre de monstre êtes-vous pour tenter de briser sa propre fille ! ? Ça me répugne.

Je baissais les yeux. Ma mère avait bel et bien tenter de me briser. Mais il en faut plus pour me détruire moralement. Je ne suis pas du genre à me laisser faire mais tous ce qu'attends ma mère c'est que je réagisse hors je ne lui offrirai pas ce qu'elle attends. Alors les yeux baissés, les bras le long du corps je ne bouge pas, je suis immobile comme une statue, une statue de marbre.

Puis la réalité me revient soudainement. Je suis perdue, la déprime me gagne tout comme Amber. À force d'essayer de se souvenir, nos mémoires se brouillent, et les souvenirs ne reviennent pas. Si nous ne faisons pas quelque chose nous finiront comme des légumes. J'avais essayer de passer à autre chose, mais je n'arrive pas. Je pensais qu'aimer Achack, un jeune homme humain que j'avais rencontré m'aiderai, mais braver l'interdit n'était pas la solution. Puis tous les élèves parlaient d'Amber et Démona, avec leur histoire totalement loup phoque. Ce qui avait le don de m'énerver.

Quand je redressa la tête, Amber me tendais la main. Aucun sourire sur ses lèvres juste de l'inquiétude dans ses yeux. Je pris la main de mon amie dans la mienne.

-Amber.. Merci.

Je lui lançais un regard serein et un petit sourire se dessina sur mes lèvres. Je lâchais la main de ma meilleure amie un instant. Je m'avançais vers Thomas.

-Monsieur, Adrien, lâchais le. Il doit partir sur le champ.

D'un geste de tête entendu, ils lâchèrent mon ex petit ami, et celui ci furax, se dirigeas vers la sortie. Ma mère lui emboitât le pas, en me lançant un dernier et mauvais regard. Je me dirigeais vers Amma et la prit dans mes bras.

-On se reverra Amma, veille sur ma mère. Je t'aime.

Je lui déposais un baiser sur la joue et elle m'embrassa le front avant de se retourner avec un sourire radieux, et de partir.
Je soupira, soulagée et déçus. Je repris la main de mon amie.

Une présence attira mon regard vers le fond de la salle.. Cet homme me disait quelque chose mais quand j'essayais de me souvenir, j'attrapais mal à la tête. Bizarre..

DEMONA W. & AMBER W.

J'observais Démona, le regard inquiet. J'avais peur qu'elle n'ai mal pris mon geste envers celui qui était après tout son ex petit-ami. Pourtant je n'avais pas pus me contrôler, tout ça m'avait surpasser. C'était comme si tout le stress, toute la tension accumulés avaient sauté sur l'occasion pour se libéré un minimum. N'empêche, la droit que j'avais administré à Thomas m'avait procuré une once de liberté et de défoulement.

A mon plus grand soulagement, ma meilleure amie me prit la main en me remerciant se qui me rassura: elle n'avait pas l'air de m'en vouloir. Après m'avoir lâché, elle demandé à mon père et mon frère de le lâcher avant que ma victime ne sorte d'un pas rapide. Ma mère n'avait pas dit un mot, elle observait la scène avec des yeux ronds. Je savais qu'elle n'aimait pas la violence, mais ça ne pouvait que la rassurer de voir que je savais me défendre, ou bien dans les pires des cas, elle penserait que la maison de la nuit m'ait transformé en une vulgaire fille abominablement violente. Mais quand on s'en prenais à Démona, on s'en prenais à moi.

La mère de Démona suivit son ex petit ami sans rien dire, vexée et honteuse forcément puisqu'on l'avait ridiculisé. J'imaginais la douleur que pouvait éprouver mon amie après avoir vécu cette scène affreuse. Il était vrai que je n'en avais pas beaucoup parlé avec elle et appart Amma, j'ignorais si elle arborait plus de famille que les deux rigolos que nous venions de rencontrer.

Elle salua Amma et je m'approchais à mon tour en esquissant un sourire triste sur mes lèvres.

-Au revoir Madame, je suis vraiment désolée pour ce qui s'est passé, je n'aurais surement pas du réagir comme ça... J'espère en tout cas que ça ne se reproduira pas.

La petite femme s'éloigna tandis que nous nous rapprochâmes de ma famille, la seule famille qui nous rester. J'avais envie que Démona considère la mienne comme la sienne alors...

-Whoah ! Et ben, je n'imaginais pas qu'il y avait autant d'action ici, s'exclama mon père.

-Oui et bien j'espère que ce n'est pas ton quotidien Amber je n'aime pas, enrichit ma mère, toujours aussi inquiète.

-Ne vous inquiétez pas, ce n'est pas tous les jours comme ça...

Je pensais à notre fameuse "soirée de l'oubli" en décidant de ne pas leur en parler. La dernière chose que je souhaitais c'était qu'ils ne s'inquiètent.

-Démona, tu ça va aller, vint s'inquiéter Adrien tandis que nous nous tournâmes tous vers elle. Je voyais que la déprime l'avait repris, c'était souvent comme ça en ce moment et puis c'était surtout chacune son tour. Je m'approchais d'elle et apporta un bras sur son épaule.

-Hey, tu préfères monter dans la chambre ? Restes avec nous, je me ferais un plaisir de tous mieux te les présenter.

AMBER.W & DEMONA.W

Puis, tout redeviens normal, après le départ de "ma famille", toutes les discutions reprennes de plus belle, les curieux ne nous observent plus, et je suis avec Amber, je tiens sa main dans la mienne, comme souvent, son frère Adrien, son père, et sa mère sont avec nous. Mes yeux sont rivés sur l'homme au fond de la salle, ses cheveux longs, ses habits miteux, on dirait qu'il sort tout droit des égouts ou pire du cimetière, que fiche t-il ici ? On dirait qu'il essaye de se faire discret, c'est raté, moi je l'ai remarqué. Sa tête, son regard, sa démarche, tout ça me donne une impression de déjà vu..

-Démona, tu ..ça va aller ?

La voix d'Adrien, près de moi, sa voix est rassurante et protectrice, il arrive a me faire sourire. Je fais oui de la tête, pas très convainquant. Mais tout va bien, j'ai seulement un peu mal au crâne. C'est au tour d'Amber de s’inquiéter.

--Hey, tu préfères monter dans la chambre ? Restes avec nous, je me ferais un plaisir de tous mieux te les présenter.

Son bras autour de mes épaules, se fit également rassurant. Bon sang Démona, qu'est ce qui te prend ?! Ou est passer ta joie de vivre ? Ta bonne humeur ? Ton envie de délirer, a tout bout de champ ? Que se passe t-il ? Que t'arrive t-il ? Réveille toi Démona ! Réveille toi ! Depuis cette soirée, ou j'ai tout oublié, la déprime me gagne souvent, mais les maux de têtes aussi, des fois je me demande si je n'aurais pas subit un lavage de cerveau, car pour tout oublier du jour au lendemain, c'est un peu fort, surtout qu'il n'y a pas que moi qui est oublié, mais aussi ma meilleure amie, celle qui pour moi est comme une sœur, Amber. Mais quand je réfléchis a la question.. Est-ce possible que quelqu'un nous est effacé la mémoire, lavé le cerveau, pour nous faire taire ? Mon mal de tête revient au galop.
Mes yeux quittent l'homme en noir, pour se poser sur le visage d'Amber.

-Je vais pas me laisser à battre.. , je baisse la voix. A cause de cette fameuse soirée, mes maux de tête sont incessant mais tant pis, je trouverais.

Je lui lance un sourire, et un regard pétillant et plein d'espoir.

-Je serais ravie de mieux connaitre ta famille, je t'en raconterais plus sur la mienne après.

Je lui fis un clin d’œil. Je n'avais pas vraiment de famille a lui présenter, mais je lui raconterai ma vie, celle d'avant. En attendant, j'écouterai tout ce qu'elle me dirait sur les siens, tout en essayant de garder un œil sur l'homme en noir. Car quelque chose me dit qu'il pourra nous êtres utile pour nous rafraichir la mémoire..

ELIANA-ELVA

Après s'être approcher du buffet, Elva attrapa deux verre dont un qu'elle me tendit. Je la remerciai d'un magnifique sourire avant de ne faire mine de trinquer avec elle et de boire une gorgée de ce qui devait être un cocktail sans alcool à base de jus de fruit exotique.

- Avec plaisir !

Dit la novice avec qui j'aller surement passer la soirée.
Elva balaya la salle du regard pendant un instant et je fis de même observant les novices, les professeurs et les parents...ainsi qu'un homme qui venait de faire son entré et qui attiré l'attention malgré lui car il tenter de se fondre dans la masse. Il avait quelques choses étranges comme si il n'était pas dans son élément. Une sensation étrange me parcouru, une sensation loin d'être étrangère pour l'avoir déjà ressentie...

Je sortie de mon exploration quand Elva repris la parole :

- Je me demande tout de même quel sera l'animation principale de cette soirée, parce que je ne sais pas pour toi mais quelque chose me dit que ce n'est pas l'exploit de mon chat qui va rester dans les mémoires...

Je la regardai d'un regard qui appuyer ce qu'elle venait de dire puis l'entraina dans un coin ou un canapé blanc n'était pas occupé tout en suivant du regard l'homme mystérieux qui avait l'air d'être à la recherche de quelque chose.
Je l’indiquai à Elva le plus discrètement possible et lui dit d'une voix qui n'était audible que par elle.

"Quelque chose me dit que cette homme n'a rien à faire là, et qu'il prépare un truc pas net! Alors oui ton chat ne sera pas l'animation de la soirée! Ce type me donne la chair de poule!"

Je sentis Birdy me dévisager, elle n'était pas la seule d'ailleurs, ma mère me regardait l'air inquiète, bien parce que c'était ma mère et qu'elle pouvait lire en moi comme dans un livre ouvert. Bientôt elle pourrait savoir que quelque chose n'allait pas. Esquiver, il fallait esquiver. Et cette odeur ignoble qui persistait. Personne ne sentait donc ? L'avais senti parce qu'il était passé près de moi ? Et d'ou pouvait bien provenir l'odeur ?

J'offris le sourire le plus vrai que je pouvais donner et quitter la tablée avec une piètre excuse, un petit:

- Je dois voir Loshad.

Je m'éloignais doucement, en essayant de suivre l'odeur sans succés. Le parfum s'estompait dans la masse, mais il était pourtant imprimé dans ma tête. Je cru le percevoir plus fort à ma gauche en vain, je n'arrivais pas à trouver qui le portait. Je ne voyais qu'un ensemble de vampire/novice et d'humain. Un humain très pâle attira mon attention, il semblait chercher quelqu'un tout en vagabondant. Peuut être un parent perdu en quête d'un novice qui ne voulait pas le voir...
J'approchais de Loshad, qui se tourna vers moi à mon approche. Elle avait étrangement le visage fermé, comme si elle aussi avait un problème.

- Professeur. J'appelais très rarement Loshad professeur, et souvent quand je le faisais, ça finissait mal. Je crois que quelqu'un ici ne devrait pas être là... Il y a une odeur de pourriture qui flotte dans l'air, vous ne sentez pas ?

Elle oppina et posa sur moi un regard profond avant d'adresser un signe de tête à Cerridwyn qui avançait sur Loshad, apparement, elle avait senti aussi. En fait, cette odeur me rappelais étrangement celle qui flottait dans l'air quand nous avions retrouvé Roxanne et Nayel. Une odeur de mort. Aujourd'hui masquée, mais présente.
Et merde. C'est pas possible. Si c'est ce que je pense, comment les fils d'Erebus ont-ils réussi à le laisser passer ?

C'était plus fort que moi, j'appelais l'Esprit. Pourquoi ? Je ne sais pas, prévenir Naomi surement. Parce que ca ma rassurait, savoir Nyx à mes côtés, à nos côtés. Et aussi par instinct. L'Esprit effleura chaque personne et le toucha lui. Au plutôt en fut rejeté. Je sus que c'était cet homme pâle qui érrait tout à l'heure. C'était lui le tueur.

C'est lui, Nao'

- Professeur. L'homme là bas. Dis-je en le désignant, sur un ton que je voulais assuré mais pourtant plein de crainte.

J'avais entre-aperçue une dispute entre les parents de Lune et celle-ci mais Cerridwyn s'en était chargée avant moi. Et puis, pour le reste, tout semblait être relativement calme. Jusqu'à ce que je perçoive une odeur étrange, dérangeante même. Entêtante et lourde comme un parfum dont on arrive pas à se débarasser et qui reste, reste, reste.
Une odeur sauvage et sanglante, une odeur qui rapelle la chair en décomposition. Une odeur de sang tourné, à donner la nausée.
Personne n'en semblait incommodé, plongé dans les conversation, les embrassades, les conseils, les cadeaux, les larmes et parfois les crises. Et le fils d'Erebus même semblaient statufiés, fixant tout mais rien.
Je fronçais les sourcils, il y avait un énorme problème, quelque chose clochait, aussi certain que j'étais vivant, quelque chose de mort ou approchant était ici.

Je fouillais frénétiquement le refectoire, à la recherche d'individu louche, de personne qui semblait être en danger, ou se sentait menacé. Personne. Alors je tentais de repérer les parents que je connaissais ce qui au final ne servait à rien, il y avait beaucoup trop de nouveau et donc de parents inconnu ou juste aperçu.
Et puis, je vis Lyna s'avancer. Elle semblait soucieuse et je voyais comme une légère crainte allumé dans son regard. Je me rapellais alors, qu'elle avait surement sentie, son odorat était développé bien plus tôt que les autres novices, comme ses marques... Mais ce n'était pas le moment de m'intérroger sur ces "avances".

- Professeur. Je crois que quelqu'un ici ne devrait pas être là... Il y a une odeur de pourriture qui flotte dans l'air, vous ne sentez pas ?

J'opinais, je sentais très bien. Je savais aussi pour l'intrus. Quand au professeur, si la situation n'aurait pas été aussi suspecte, j'aurais relevé un sourcil et rit mais le rire attendrait. Je vis Cerridwyn a l'extrémité de mon champ de vision s'avancer, elle semblait avoir senti aussi. Lyna se détourna, elle semblait chercher et je priais Nyx pour que l'un d'entre nous repère l'individu. Je pouvais toujours demander à Cerri' de lancer un sortilège chercheur ou allerter tout de suite les fils d'Erebus. C'est Lyna qui trouva.

- Professeur. L'homme là-bas.

Elle le montra. Un homme pâle, les cheveux longs, un air classe et un même temps sombre. Pas de marque et pourtant... Il n'était pas humain. Je le savais. C'était le traqueur qui avait causé tout les problèmes que nous rencontions. Et notre dirigentes de filles de la Nuit l'avait repéré grace à l'esprit. Comment sinon ?

Je jetais un coup d'oeil à Cerridwyn lui indiquant en langage codé (oui, il fallait qu'elle comprenne) de jetais un sort pour bloquer les "téléportations". Puis avec ce même code, j'indiquais aux Fils d'Erebus d'encercler notre homme...

[Cerri à toi ?!]

Alors que notre conversation, bien que traitant un sujet délicat, allait bon train, un petit silence pesant se fit ressentir. En effet, l'expliquer était étrange, mais l'atmosphère de la pièce semblait s'être... alourdie, assombrie. Et je n'aimais pas ça. C'était peut-être mon subconscient (après tout notre discussion n'abordait pas un sujet très joyeux), mais je sentais comme une odeur... des relents d'eau stagnante, de pourriture. Je balayais l'air de rien mes compagnons du regard, mais apparemment le changement qui semblait s’opérer ne perturbait que moi. C'est alors que je sentis une pression sur mon avant-bras droit, et je tournais la tête vers Lyna qui me lançait un regard plein de sous-entendu. Elle aussi, elle sentait quelque chose...

Dans ces moments-là, les possibles qui s'offrent à nous sont très restreints. Entre prendre soin de ne pas perturber ou affolés les convives, tout en cherchant tout de même ce qui se trame, mais également ne pas rester seuls (alerter un vampire!)... Mon esprit, au bord de la panique, restait confus. Heureusement, Lyna fut plus rapide et opérationnelle que moi, et se leva discrètement et sans un mot en direction de Loshad.
Je jetais un œil vers Maé. Elle nous connaissait, elle n'était pas dupe, et elle aussi devait se douter qu'il se passait quelque chose d'anormal. Et compte tenu du regard chargé d'incompréhension de Birdy, et ceux, plus calme mais légèrement perplexe de nos familles ; je sus qu'il fallait agir, et plutôt vite et efficacement.

Déjà calmer l’ambiance. Malgré la tempête qui se déclenchait en moi, l’habitude et l’expérience me permirent d’apaiser mon âme et de laisser mon élément, l’Esprit, m’envahir. Je le laissais ensuite, d’un souffle, se répandre autour de moi, vers mes compagnons. Avec un petit sourire aimable, je me mis alors à parler :

- La Nuit des Parents va bientôt s’achever… Tout le monde va repartir en même temps, et il risquera d’y avoir du monde sur les routes ! Il serait peut-être préférable que vous commenciez à disposer maintenant, ainsi vous pourriez être de retour plus tôt, et vous seriez plus tranquilles…

Lorsque je vis Maé et Birdy se lever en souriant à leurs familles, puis me jeter un regard receptif, je sus qu’elles avaient compris le message et je fus soulagée. Mais Ethan, mon frère, me connaissait trop pour ne se douter de rien. Il posa une main sur mon épaule et me regarda droit dans les yeux en chuchottant:

- Nao’… Qu’est-ce qu’il y a ?

Je soupirais, prête à me lancer dans une explication diplomate, mais j’entendis alors une voix dans ma tête. Ou plutôt dans mon… âme. L’Esprit ne m’avait toujours pas quitté, et je reconnu les intonations de Lyna. Je savais qu’elle s’était entraînée à ce genre de choses, mais j’étais toujours surprise des limites qu’elle repoussait sans cesse…

C’est lui, Nao’

Un regard vers Lyna, à l’autre bout de la salle, qui me montre un homme. L’odeur de rance et pourri vient me chatouiller les narines… Il a l’apparence d’un homme chic, un peu BOBO, mais son allure, son attitude… Je ne m’y attarde pas. Je vois déjà Loshad et Mlle Sùrrion se concerter. Reportant mon attention sur mon frère, je tâche d’être brève :

- Un petit souci est survenu, en effet… Mais on va régler ça, ne t’inquiète pas. Est-ce que tu peux raccompagner la mère de Lyna, s’il te plait ? Je t’appelle demain, promis !

Il n’insiste pas, heureusement, et tous se dirigent vers la sortie. Après de brefs « au revoir » et une promesse de se revoir bientôt, nous les regardons par la fenêtre pour s’assurer qu’ils sont bien sortis de l’enceinte de la Maison de la Nuit. Je me tourne ensuite vers Maé et Birdy, et leur dit d’une voix que je ne veux pas trop stressée :

- Les filles… Je pense que vous avez sentis comme moi que quelque chose n’allait pas. Le… tueur s’est introduit dans l’école. Il est juste là, dis-je en le montrant discrètement du doigt. Il faut que l’on reste groupées, surtout. On va rejoindre Lyna, il ne faut pas la laisser seule…

J’attends tout de même une réaction de leur part avant de repartir vers la foule. Il ne s’agirait pas de perdre de nouveau une amie…

Puanteur. Quel autre mot pourrait mieux designer cet instant. Cet instant où il est rentré dans la pièce. Non, puanteur est un mot trop faible.
Mais une substance n’était pas mauvaise ; un soupçon d’Earl Grey et d’air libéré. Sentiments… J’étais un peu seule entre mes deux amies et Birdy. Lyna était médium et possédait une affinité avec trois éléments ; Naomi en avait une avec l’Esprit et avait un don pour les poèmes. Moi, je n’avais… rien… J’avais passé six mois avec une jeune fille et je savais qu’elle avait eu les mêmes sentiments que moi. Presque au mot près… Mais la mort sépare si bien les choses ! La mort ?! ou cette odeur de puanteur ?

Lyna était partie rejoindre Loshad. Je ne faisais pas attention à mes parents, ni aux autres. Je ne regardais qu’elle. J’espère une réponse de cette part, même infime. Elle tourna la tête vers nous mais ce n’était pas pour. Naomi. Évidemment, comment ais-je pus croire que j’avais de l’importance ? Je n’étais qu’une fille timide sans pouvoir. Je ne pourrais même pas sauver ma meilleure amie. Mon visage ne laissa passer aucune émotion. J’avais passé mon adolescence à rester stoïque pour ne pas inquiéter mes parents. En l’occurrence, ils se tenaient en ce moment à coté de moi. Il ne fallait pas que je craque !

- La Nuit des Parents va bientôt s’achever… Tout le monde va repartir en même temps, et il risquera d’y avoir du monde sur les routes ! Il serait peut-être préférable que vous commenciez à disposer maintenant, ainsi vous pourriez être de retour plus tôt, et vous seriez plus tranquilles…L’excuse de Naomi ne convaincu personnes mais tous les parents avaient compris que leurs soutiens étaient essentiel. Mes parents avaient compris et m’embrassèrent :
- Il faudra que tu passes rapidement voir Emie. Sinon tu ne pourras bientôt plus la reconnaître !
Traduction : il faudra que je donne rapidement des nouvelles. Après un dernier sourire, ils partirent. Naomi fini de discuter avec Ethan et revint vers nous.
- Les filles… Je pense que vous avez sentis comme moi que quelque chose n’allait pas. Le… tueur s’est introduit dans l’école. Il est juste là. Il faut que l’on reste groupées, surtout. On va rejoindre Lyna, il ne faut pas la laisser seule…
Je voulais y aller.
J’ai fermé les yeux.
Sans pouvoir.
Inutile.
Trop inutile.
Je ne saurais pas sauver ni Nayel, ni Roxane.
Nulle.
Trop nulle.
Je serais un boulet pour mes amis.
Un jour, peut-être, à moins que je ne vieillisse plus de ma vie. Morte.
Stoïque. Avec le sourire aux lèvres.
- Je ne vous accompagnerais pas, Naomi. Je ne serais en aucun cas utile et je risquerais de vous gêner quand vous vous bâterez. Je ne suis pas faite pour être une héroïne.
Je regardai les Fils d’Erebus entourer l’homme, les professeurs se mobiliser… Pas de place pour moi.
- A tout à l’heure les filles ! Je vous souhaite de tout cœur de réussir !

Cerridwyn laissa Luna s’éloigner un peu de la foule, elle la surveillait pour ne pas qu’elle s’éloigne trop. En même temps son regard, toujours aussi calme faisait le tour de la salle se posant sur presque chaque personne, comme à son habitude. C’était le meilleur moyen de s’amuser pour la vampire qui n’avait personne à voir en cette réunion. Finalement à force de répéter cette réunion au fil des ans l’on repérait toujours le même type de personne, trop redondant, c’était rapidement ennuyant. Elle finit d’émietter du regard les parents des premières années jusqu’à ce qu’elle sentit une présence étrange.

Toujours appuyée contre sa colonne, les bras croisés, son premier réflexe fut de regarder rapidement la salle à la recherche d’une aura, preuve que quelqu’un faisait usage de quelconque pouvoir. Ce qu’elle ne trouva pas. Par contre elle vit un homme qu’elle n’avait pas vu jusque-là. Cet homme était habillé comme tout le monde, quoiqu’en regardant de plus près on remarquait que ses vêtements étaient pour la plupart neuf. Elle haussa des épaules pour elle-même, juste un parent en retard qui voulait avoir la « classe » et avait refait son armoire. Finalement elle abandonna cet homme à ses enfants vampires qui devaient être dans les parages pour regarder où en était Luna. Pas de soucis elle était toujours là.

A cet instant une odeur étrange vint lui titiller le nez, qu’elle fronça. Etrangement son regard se reporta vers l’homme qui était entré plus tôt, avec ses cheveux longs et noirs. Le premier souvenir que lui rappela cette odeur fut la découverte du corps de Nayel. Les odeurs étaient ce qui nous rappelait le plus de souvenirs. Elle se demanda si elle était la seule à l’avoir remarqué et un coup d’œil vers Loshad lui indiqua le contraire. La directrice et même cette fille du nom de Dawson avait remarqué sa présence. Toujours aussi calme elle s’avança, quoiqu’en fronçant toujours le nez, vers la directrice et l’élève.

Elle n’eut pas besoin de dire quoi que ce soit pour identifier la source de ce phénomène puisque Lyna savait déjà de qui il s’agissait. Loshad et Cerridwyn se regardèrent, nul besoin de communiquer oralement pour comprendre, elle devait faire quelque chose. Cependant, si c’était bel et bien un traqueur, vampire, tout ce que vous voulez sauf un pauvre humain il sentirait surement la magie de Cerridwyn, heureusement celui-ci ne pouvait pas voir les auras. Si l’agresseur était bel et bien un traqueur alors il pouvait se téléporter à tout moment, il fallait donc lui couper sa fuite.

Loshad donna des « ordres silencieux » aux fils d’Erebus et la vampire ne cautionnait pas trop ce plan, la nuit des parents finirait sur un beau spectacle et ferait surtout peur aux humains.
Cerridwyn ferma donc les yeux, appelant son pouvoir, son aura se développa petit à petit, blanche lune, à la forme de flammes excitées par une brise. Inutile de faire une gestuelle pour ce sortilège, en plus cela allait l’attirer d’avantage à croire qu’il se passait quelque chose de mauvais pour lui. Cerridwyn ne pouvait pas ne bloquer que les sortilèges de téléportations, elle préféra donc bloquer tous les sortilèges que l’on pouvait utiliser au quotidien, la téléportation en faisait partie. Elle murmura des paroles incompréhensibles et ni vu ni connu le sort fit effet. Visuellement il était impossible de le voir. Si on était un petit peu puissant on pouvait remarquer que ce sortilège avait été lancé, et celui qui essayait de faire un sort de cette école de magie se sentait bloqué et frustré. Elle regarda Loshad, le traqueur plus loin derrière elle, elle ne se retourna pas, faisant comme si de rien n’était.

« C’est une belle nuit pour venger les enfants de Nyx… »

Le regard de mon amie s'était trop souvent posé vers l'entrée mais je n'y fis pas attention pensant qu'elle regardait Amma s'en aller.

-Je vais pas me laisser à battre.. , elle baissa la voix. A cause de cette fameuse soirée, mes maux de tête sont incessant mais tant pis, je trouverais.

Je compris qu'elle parlait de nouveau de notre trou de mémoire dont je n'avais pas parlé à ma famille. Je lui fis un sourire compréhensif, de mon côté je n'avais pas eu mal à tête depuis hier. Peut-être qu'en arrêtant d'y penser, ça passerait.

-Tu as raison, mais avec ce bruit dans la salle, ton mal de tête ne risque pas de dissiper...

Elle sourit tout de même et me rendit un regard pétillant, celui que j'aimais voir sur le visage de ma meilleure amie, celui qui me redonnait encore plus confiance et espoir et ignora mes derniers mots.

-Je serais ravie de mieux connaitre ta famille, je t'en raconterais plus sur la mienne après.

J'acquiesçais et me tournais vers tout le monde pour commencer à parler du métier de mes parents, des études de mon frère avant d'expliquer à ma famille comment étaient les cours ici, qu'on prier une Déesse, Nyx et ce que les symboles sur nos tee-shirt représentaient. Puis, Démona refit un regard furtif vers l'entrée alors, cette fois je décidais de tourner la tête laissant ma mère parler deux secondes dans le vide, deux secondes qui parurent interminables.

L'homme à l'allure sombre, tout habillé de noir attendait là... Que cherchait-il ? Quelqu'un d'autre que nous l'avait-il remarqué ? Je fronçais les sourcils sans trop penser, sans trop douter. Je ne voulais pas que ce mal de tête reviennent...

-Déesse, Nyx, qui est cet homme ? Pensais-je à voix haute.

C'est alors que tout changea comme si en un instant un nuage de noirceur était venu planer au-dessus de toutes ses festivités. Lyna se leva d'un bon et dit qu'elle devait aller voir Loshad la suivant du regard, Birdy posa ses yeux sur un homme qui ne lui disait rien de bon. Ses poils se hérissèrent tandis que ses sens se mirent en alerte tout seul.
Les choses aller tourner mal il fallait faire en sorte de mettre à l’abri leur famille c'est alors comme dans une communication de pensée Naomi pris la parole.

- La Nuit des Parents va bientôt s’achever… Tout le monde va repartir en même temps, et il risquera d’y avoir du monde sur les routes ! Il serait peut-être préférable que vous commenciez à disposer maintenant, ainsi vous pourriez être de retour plus tôt, et vous seriez plus tranquilles…

Birdy se leva de son fauteuil pour serer ses parents dans ses bras et embêter sa sœur une dernière fois. Eux était tellement content de l'avoir retrouvé qu'ils ne se douter pas une seconde de ce qui se tramer. La novice les saluât comme il se doit leur affirmant qu'elle aller les appeler après avoir ouvert tous ses cadeaux.
Tandis qu'elle saluer une dernière fois ses parent elle sentie Nao' ailleurs comme si elle percevait une chose que les autre ne pouvait pas. Elle dit au revoir à son frère tandis que Maé faisait de même avec sa famille.

Une fois les familles respectives en route vers la sortie Nao' se tourna vers les deux jeunes filles et d'une voix moin joyeuse que d'habitude dit :

- Les filles… Je pense que vous avez sentis comme moi que quelque chose n’allait pas. Le… tueur s’est introduit dans l’école. Il est juste là, dit-elle en le montrant discrètement du doigt. Il faut que l’on reste groupées, surtout. On va rejoindre Lyna, il ne faut pas la laisser seule…

Birdy suivit la direction du doigt de Naomi et posa son regard sur l'homme qu'elle avait remarqué comme étant louche il y a quelques minutes de cela.
La novice aller dire quelques chose mais Maé la devança.

- Je ne vous accompagnerais pas, Naomi. Je ne serais en aucun cas utile et je risquerais de vous gêner quand vous vous bâterez. Je ne suis pas faite pour être une héroïne...A tout à l’heure les filles ! Je vous souhaite de tout cœur de réussir !

Birdy pris la remarque de son amie comme un choc elle l'avait perçu comme quelqu'un de timide mais elle savait qu'au fond d'elle se cacher une force cela résulter juste d'un manque de confiance qu'elle avait bien l'intention de lui donner même si le temps pressé.
La novice attrapa alors le bras de son amie et la pris dans ses bras avant de dire.

"Ne dit pas des choses comme ça, tu as ta place ici et sûrement plus que d'autre novice présent dans cette salle. Je sais que je ne suis pas là depuis longtemps, mais tu es déjà une amie pour moi et il est hors de question de laisser l'une de mes amies dans cet état-là. Tu te sens peut-être dépourvue de toute force mais c'est faux moi je la sens et je suis sûr que Nao' et Lyna aussi! Si tu étais bonne a rien tu ne serais même pas là parmi nous. Tu n'as peut-être pas de pouvoir ou de force hypersonique mais tu à la force du cœur et face à la noirceur des gens rien ne vaut une amitié aussi forte. Lyna aura autant besoin de toi que nous. Alors tu viens!"

Sur ses dernières paroles Birdy offrit un sourire plein d'amitié et de sincérité aux filles avant de ne reprendre son sérieux et de dire :

"Allons-y! Lyna a sûrement besoin de nous!"

ELIANA - ELVA

S'asseyant sur le canapé blanc jusqu'où l'avait entraînée sa nouvelle connaissance, Elva regardait les parents ainsi que les novices en pleines retrouvailles. Maintenant que les larmes étaient fini tout le monde semblait avoir entamer des conversations plus banale. L'Italienne était d'ailleurs sûr que toutes les mères étaient en train de demander à leur fils ou à leur fille si tout se passait bien, s'ils prenaient bien leur douches régulièrement, s'ils mangeaient, équilibré, etc. La nouvelle aussi aurait bien aimée que quelqu'un se préoccupe d'elle ainsi, quoique... Non en faites. Elle s'en lasserait vite.

"Quelque chose me dit que cette homme n'a rien à faire là, et qu'il prépare un truc pas net! Alors oui ton chat ne sera pas l'animation de la soirée! Ce type me donne la chair de poule!"

La phrase de Eliana tira l'Italienne de ses pensées. Le regard de cette dernière se dirigea donc dans la même direction que la novice blonde. Effectivement, cet homme n'avait rien de rassurant, il semblait être le parfait gentleman, bien habillé, bien coiffé, il avait l'air poli aussi avec les personnes qui l'entoure. Mais quelque chose clochait. Elva n'arrivait pas à trouver quoi et cela l'énervait. La démarche de l'homme ne trahissait pourtant pas de malaise particulier. Cet personne devait avoir du beaucoup de charisme.

Regardant finalement autre part pour ne pas éveillé les soupçons, l'Italienne avait besoins de renseignement. Elle qui était toujours à la bibliothèque, elle ne manquait pas d'élément pour démasqué quelqu'un de suspect. Seulement ici s'était plus compliqué. Cet homme pouvait très bien être un simple humain au passé pas très net, comme il pouvait être un Vampire, qui, pour une raison obscure tente de cacher son identité. Elva balaya donc la salle des yeux. N'étant pas assez entraînée encore pour pouvoir voir ou sentir les auras ou les dangers, la nouvelle se tourna vers un source plus sûr : son don.

Se levant du canapé où elle était assise sans prévenir sa voisine, l'Italienne fit quelques pas avant de s'accroupir devant une petite chatte banc tachetée. L'animal ne semblait pas avoir plus d'un an ou deux. Mais Elva pouvait sentir qu'elle était très perturbée, tentant de rassurer le Félin en la caressant doucement, l'Italienne tenta de comprendre pourquoi elle était aussi agité. La novice n'était pas sûre que cela marcherait, après tout, elle n'avait pas encore une maîtrise absolu de son don. Elle ne pouvait que percevoir les émotions des chats, les déchiffrer lui était encore compliqué. Seulement là, ce fut un flot de sensation désagréables qui découla en elle avec une puissance effrayante. Elva ne comprenait pas très bien ce qu'il se passait, habituellement elle ne percevait pas aussi bien les émotions, mais la petite chatte devait être tellement perturbé qu'elle devait amplifié les choses de telle sorte que l'Italienne ressentait le même sentiment de peur qu'elle.

Laissant finalement l'animal partir en courant, la nouvelle revînt vers Eliana en frissonnant. Elle avait reçu trop de sentiments désagréable à la fois s'était... bizarre, pendant un instant même elle avait cru voir l'image de l'homme suspect s'afficher dans son esprit. Serait-ce lui qui inspire tant de peur à ce pauvre animal ? Réfléchissant pendant un instant, Elva resta sans rien dire. Oui, il n'y avait pas de doutes possible, les chats avaient un trop bon instinct pour pouvoir se tromper. Cet homme n'avait pas sa place ici... Mais qu'était-il donc venu faire alors ? Ce penchant vers Eliana, la brune lui donna ses renseignements sur un ton bas pour qu'elle soit la seule à les entendre :

- Oui, cet homme est vraiment suspect, il n'est pas venu voir un novice, c'est sûr. La chatte que je viens d'interroger semblait dire vouloir dire qu'il l'effrayait énormément... Comme si... Une odeur de mort régnait autour de lui. On ne peut pas le laisser tranquille.

ELIANA-ELVA

Plus je le regardais plus j'avais la forte impression de l'avoir déjà croiser. Il fallait que je sache et une seul solution était possible : ouvrir mon esprit à mon empathie car ici mon élément ne me serait pas très utile.

Je fermai alors les yeux tandis qu’Elva se leva pour aller à la rencontre d'un chat, à ce que j'avais entendu elle avait une affinité avec...
Je laissai une petite faille s'ouvrir en moi afin de laisser les émotions et sentiments des autres me parvenir. Après une explosion d'amour, de dénie, de tristesse et même parfois de honte je me fixa sur que je recherchais : Lui!
C'est alors que la froideur s'empara de moi comme les autres fois, cette noirceur qui était en lui me traversa de part en part, voulant en être certaines j'ouvris les yeux et la remarqua. Une aura aussi noir que les ténèbres, à croire que c'était la mort quoi que a mon humble avis même la mort serais plus accueillante!
Revenant à moi je me refermais immédiatement car il était hors de question de ressentir cela une seconde de plus même si cela ne me submergé plus autant qu'avant je n'étais pas encore un vampire pleine de contrôle sur toutes les facettes de mon don.

Une fois cette mauvais expérience vécu et la vérité plus ou moins découverte c'est une Elva toutes fébrile qu'elle vit revenir sur le canapé près d'elle. Et elle n'eut pas besoin de demander ce qu'elle venait d'apprendre de ce jolie petit chat car je l’avais ressentie à la seconde même ou elle avait plongé son regard dans le miens...
Ce penchant vers moi de façon à ce que je sois la seul à pouvoir l'entendre elle me révéla ce que je savais déjà.

- Oui, cet homme est vraiment suspect, il n'est pas venu voir un novice, c'est sûr. La chatte que je viens d'interroger semblait dire vouloir dire qu'il l'effrayait énormément... Comme si... Une odeur de mort régnait autour de lui. On ne peut pas le laisser tranquille.

Je posa alors une main sur la sienne afin de lui inculquer le réconfort que mon don était capable de lui donner afin de la calmer un peu car je la sentais encore toute fébrile.
J'aller dire ce que j'avais appris de mon côté quand un gout étrange se fit sentir sur mes papilles : un sort venait d'être lancer. J'étais assez forte dans la matière de Mme Cerridwyn pour avoir appris que chaque sort avais une sorte de goût différent et celui-ci avait l'air d'être puissent sûrement lancer par la prof en personne...

Regardant dans la direction où les choses avaient l'air de s'agiter alors que la soirée continué comme de rien était autour je remarqua Loshad ainsi que quelques Fils d'Erebus autour de l'homme.
Me tournant vers Elva, ma nouvelle rencontre je lui chuchotai d'une manière discrète.

"-Son aura est plus noir que les ténèbres et les émotions qui le parcours ne sont pas joyeuses mais j'ai l'impression que les choses ont été prises en charge je pense qu'un sort vient d'être lancer, tu ne sens pas ce goût étrange sur tes papilles?"

AMBER.W & DEMONA.W

Cette odeur nauséabonde, me donnerait envie de vomir, odeur de chair, d'humidité, de sueur et de.. Mort. Je frissonne, Amber a désormais remarqué l'homme habillé de vêtements noir de la tête aux pieds, avec son grand manteau, il ne lui manque que le chapeau et on dirait un gars de la Gestapo, des années de la Seconde Guerre Mondiale. Non, sérieusement qui est-il ? Son allure m'est étrangement familière, pourquoi ma tête me fait si mal ? Je n'arrive pas à me souvenir ? Peut-être ce mal de tête, devrait m'aider à me souvenir, mais impossible. Je remarque que la Grande Prêtresse, notre professeur de sortilèges, et quelques élèves faisant partie des Fils et Filles de la Nuit, ainsi que les Fils d'Erebus, se rapprochent, leur cible étant l'homme aux longs cheveux. J'attrape la main d'Amber, je la serre très fort, très très fort. Je chuchote tout en regardant vers l'homme.

- Ils l'ont remarqué. Amber quelque chose se prépare, je le sens. Emmène tes parents et ton frère près du buffet.

Mon amie hoche la tête, je lâche sa main, elle emmène ses parents près du grand buffet. Je reste là, figée a regarder la scène de mes grands yeux ambre. Après quelques minutes, Amber revient, elle attrape ma main, que je serre de nouveau.

- Sa sent mauvais, et je ne te parle pas de cette odeur qui donne envie de vomir, mais de ce qui se prépare, ça sa sent vraiment mauvais.

J'étais tendu, et Amber l'été surement aussi. J'appelais le feu silencieusement et lui ordonné de nous apaiser et de nous donner courage et force. J'avais fermé les yeux, mes paumes de mains se réchauffèrent et la chaleur m'apaisa aussitôt. Mes yeux se rouvrirent, et se rivèrent droit sur l'homme, et là je reçus comme une claque et je manqua de tomber. Mes jambes allaient céder. D'une voix que je voulait pleine d'assurance, je dis dans le creux de l'oreille d'Amber.

- Amber... Amber, c'est lui.. C'est.. c'est le tueur. Celui qui à tué Nayel et Roxanne.

Un frisson me parcouru aussitôt. Mes yeux ne quittèrent pu l'homme, une seconde. Mes pieds m’ordonnaient d'avancer, pour encercler l'homme comme les autres le faisaient. Après tout, Amber et moi avions le feu, nous pourrions être utiles.

[Si quelqu'un veut bien? Je sais j'arrive un peu tard.]

Quand je suis arrivée à la parents night il été déjà tard mais on pouvait voir que la tension y régnait. Une petite goutte de peur, un peut de colère avec du dégoût mélanger avec une pincée de rancoeur. Et un peut de peur. Oui de la peur. Je me demandait ce qui se passait quand je vit un homme tout seul et des regard furtif qui le regardait. Mélanger tout sa à des chuchotis et on avait un homme très suspect. Surtout que aucun d'entre nous se diriger vers lui.
Sans m'en rendre compte je pris un carnet et je commençait a dessiner une lettre grec. Un oméga. Quand j'ai un truc dans la tête je suis toujours obligé de le faire sortir. Mais dès que je le regardé se me revenait à chaque fois. Alors je me suis rapproché du buffé et fit semblant de manger en évitant de croisé le regard de cette inconnu. Mais mes yeux refusé d'obtempérer et mon regard dévisageait l'inconnu. Malgré tout vu le monde qu'il y avait je suis certaine qu'il ne me verra pas.

Une nuance de crainte commencer à émergé en moi et à pousser d'une vitesse, je n'avait jamais eu aussi peur. Mais je gardait mon calme du moins j'essayait. Les parents commençait à partir et des fille commençait à se réunir. Comme j'était une petite curieuse je devait au moins restez jusqu'à la fin. En tout cas ne pas lâcher cette homme des yeux car lui je ne pouvait pas savoir ce qu'il allait faire. Il était imprévisible.
Son aura devait être noir car on percevait le froid qui émané de lui. Un froid de mort. Il me donné froid dans le dos rien qu'à le regardé j'avait envie de vomir. Mais son aura glacial pouvait réchauffer les coeur les plus froid. Mais pouvait aussi reffroidir les coeur les plus chaud mais... Je ne préfère pas y penser.

Eliana - Elva

Les émotions qu'elle avait reçu avaient été si forte qu'Elva n'arrivait plus à reprendre son calme. Pourtant elle y arrivait facilement d'habitude, elle était même très forte pour géré ses émotions. Seulement recevoir et ressentir n'était pas la même chose et s'était sans doute pour cela que l'italienne était si perturbée.

Sentant une main sur la sienne, la novice tourna la tête vers sa nouvelle rencontre. Ce contact l'apaisait bizarrement. Pendant un instant la jeune fille ne compris pas vraiment ce qu'il ce passait mais elle finit par adresser un sourire amicale à Eliana. Cette dernière avait sûrement une affinité avec la Terre et si l'italienne pouvait le savoir c'était qu'elle même se sentait proche de cet élément, elle arrivait donc à reconnaître ce sentiment apaisant et réconfortant que la Terre pouvait procuré.

Ayant à peu près repris son calme, Elva savait qu'elle mettrait un petit moment à se remettre de son expérience. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi elle avait aussi bien perçu les sentiment de l'animal interrogé. Était-ce parce qu'ils étaient évident et fort ? Ou serait-ce le don de l'Italienne qui s'était développé davantage ? Si c'était le cas, la jeune fille devrait pensé à remercier une fois de plus Nyx pour le don qu'elle lui avait offert. C'est alors qu'Eliana sortit Elva de ses pensées :

"-Son aura est plus noir que les ténèbres et les émotions qui le parcours ne sont pas joyeuses mais j'ai l'impression que les choses ont été prises en charge je pense qu'un sort vient d'être lancer, tu ne sens pas ce goût étrange sur tes papilles?"

Un frisson parcourut l'échine de l'Italienne, son amie avait raison cet homme n'inspirait aucune joie. Il ne semblait même pas connaître ce mot, c'était... Effrayant. D'ailleurs cette histoire de sort inquiéta un peu Elva. Elle se savait n'était pas la meilleure dans cette matière, mais jusque maintenant elle n'avait pas eu trop de mal à réaliser les exercices de ses professeurs pour détecter un sort. Ici, si Eliana ne lui avait rien dit, l'Italienne aurait sans doute mit un certain temps avant de ressentir ce goût étrange donc parlait la jeune fille. Alors c'était vrai, les enchantement n'étaient pas des jouets, en cours tout était facile et amusant, mais dans une véritable situation telle que celle-ci tout était différent.

Hochant cependant la tête pour répondre à Eliana, la nouvelle se demandait quel genre de sort avait pu être lancer, elle balaya donc la salle du regard. La professeur d'Enchantement était sans aucun doute à l'origine de celui-ci et voyant Loshad ainsi que plusieurs Fils d'Erebus s'approcher de l'homme louche, Elva fut soulagée que l'affaire ai été prise en main. Il n'y avait plus qu'à espéré que l'infiltré ne se rebellerait pas.

- Oui, les choses viennent d'être prises en charge, mais je doute que cet homme n'ai pas de ressources, sinon il ne serait pas venu. D'ailleurs c'est étrange d'être venu alors qu'il y a autant de monde notre grande Prêtresse y comprit. Il y a donc deux solutions : soit cet homme est totalement dénuée de raison, soit il à quelque chose à faire ici, il dit bien y avoir un but à cette venue.

ELIANA-ELVA

"- Oui, les choses viennent d'être prises en charge, mais je doute que cet homme n'ai pas de ressources, sinon il ne serait pas venu. D'ailleurs c'est étrange d'être venu alors qu'il y a autant de monde notre grande Prêtresse y comprit. Il y a donc deux solutions : soit cet homme est totalement dénuée de raison, soit il à quelque chose à faire ici, il dit bien y avoir un but à cette venue."

Détourna le regard un instant d'Elva afin de ne reportait mon attention sur la situation qui se passait non loin de nous.
L'homme au regard noir n'avait pas l'air de s'être rendu vraiment compte de ce qu'il se passait du moins pour le moment. Tentant de capter son regard un court instant je pris sur moi avant de ne me laisser entraîner dans son flot de noirceur intérieure. Retenant mon souffle tout au long de ce plongeon de la mort je finis par en ressortir toute troubler.

Un instant afin de reprendre mes esprit et je me tournai vers ma nouvelle amie.

"-En effet, cette homme à un but, je ne serais pas te dire lequel je ne suis pas télépathe mais j'ai jamais vu un homme aussi déterminer que cela. Il est tels un TGV qui n'aurait plus de frein!"

M’affalant un peu plus dans le canapé je me demandai un peu ce qu'un homme aussi louche venait faire ici mais quelques chose me disait qu'on allait bientôt en savoir un peu plus sur ce qu'il ce passer...

"-Dommage que mon empathie ne puisse pas m'en dire plus de toutes façon on va finir par en avoir le cœur net sur ce qu'il mijote!"

Changeant un peu de sujet je reportai mon attention sur Elva et dit souriante.

"-Aurais-tu une affinité avec les chat? Je trouve ça fascinent et tellement beau ce que nous offre Nyx même si parfois je lui en ai beaucoup voulut pour ce cadeau que j'ai longtemps qualifié d'empoisonné, j'ai même cru qu'un jour elle m'avait littéralement abandonné mais finalement je trouve qu'on a beaucoup de chance d'avoir une déesse si présente!"

Eliana - Elva

Pendant un instant, Eliana reporta son regard sur l'infiltré. Enfin si elle n'observait pas cet homme, la jeune novice ne regardait plus l'Italienne, cela ne perturbait pas cette dernière, mais elle se demandait comment elle pouvait encore voir l'inconnu. Elva n'osait plus bouger, même si elle commençait à se remettre de ses émotions, elle ne se sentait pas d'attaque pour affronter le regard de l'infiltré.

"-En effet, cette homme à un but, je ne serais pas te dire lequel je ne suis pas télépathe mais j'ai jamais vu un homme aussi déterminer que cela. Il est tels un TGV qui n'aurait plus de frein!"

Hochant la tête avec résolution, la nouvelle décida de ne pas se laisser abattre, si un combat se préparait il fallait qu'elle puisse faire face à son ennemis et ne pas s'enfuir en courant sinon quelle héroïne pathétique elle ferait. Car oui, si Elva avait prit le nom de la guerrière de la fiction qu'elle écrivait, c'était pour prouvée qu'elle aussi avait un esprit de guerrière et qu'elle ne se découragerait pas ni ne fuirait face aux épreuves que la vie lui imposait. Surtout que l'Italienne avait l'habitude de raisonner calmement aux situations difficiles.

"-Dommage que mon empathie ne puisse pas m'en dire plus de toutes façon on va finir par en avoir le cœur net sur ce qu'il mijote!"

L'empathie... Eliana avait donc bien une affinité avec la Terre, il n'y avait plus de doutes à présent. Et il était vrai qu'Elva aussi était déçu de ne pas pouvoir en faire plus dans une telle situation pour pouvoir aider les Vampires qui agissaient déjà. Seulement il ne fallait pas non plus que les deux jeunes filles s'impose inutilement. Eliana avait peut-être ressentit la même chose car elle changea de sujet :

"-Aurais-tu une affinité avec les chat? Je trouve ça fascinent et tellement beau ce que nous offre Nyx même si parfois je lui en ai beaucoup voulut pour ce cadeau que j'ai longtemps qualifié d'empoisonné, j'ai même cru qu'un jour elle m'avait littéralement abandonné mais finalement je trouve qu'on a beaucoup de chance d'avoir une déesse si présente!"

Un sourire fleurit sur le visage de l'Italienne. Oui, elle avait bien une affinité avec les chats et ce don lui plaisait beaucoup. Il pouvait paraître affreusement banal pour les autres novices, mais il pouvaient pas savoir à quel point c'était rassurant de pouvoir s'adresser à ces animaux si sage. Elva remerciait Nyx du fond du coeur pour ce don. A croire que la Déesse avait sut exactement ce dont avait besoins l'Italienne. Seulement recevoir un don hors du commun est étonnant pour tout le monde au début et si Elva avait rapidement découvert son nouveau pouvoir, elle était très étonnée au début, elle se croyait même folle de ressentir autant d'émotions qu'elle n'arrivait pas à déchiffrer ! Heureusement que ses professeurs avaient été là pour l'encadré et surtout il y avait Nobu qui l'avait beaucoup aidé. C'est donc avec une voix plus assurée et calme que l'Italienne reprit :

- Oui j'ai bien une affinité avec les chats et... J'en remercie encore Nyx pour ce merveilleux cadeaux. Seulement je ne l'ai jamais considéré comme empoisonné, je me suis juste cru folle pendant une temps. Mais j'imagine que l'on à pas vécût les même choses. Chaque être est unique après tout.

Finissant sa phrase avec un petit clin d'oeil, la nouvelle se demanda soudainement comment elle ferait aujourd'hui sans son don, elle se sentirait si seule et déboussolé de ne pas savoir à qui s'adresser. Elva parlait beaucoup plus facilement à un chat qu'à un humain c'était clair et net.

- Mais toi tu possède une affinité avec la Terre n'est-ce pas ? C'est pour cela que tu peux user de l'empathie qui la caractérise... Ce ne doit vraiment pas être facile à supporter. Mais aujourd'hui, je ne sais pas pour toi, mais je ne sais pas comment je survivrais sans mon don...

Les fils d'Erebus commençaient à doucement à encercler l'homme faisant comme si de rien était. Pourtant, ça ne suffirait pas, da'bord parce que tout les parents était encore là, cela mettait beaucoup trop de personnes en danger. Je me penchais à l'oreille de Lyna pour qu'elle seule m'entende:

"Toi et les novices, faites sortir vos parents tranquillement et sans émeute. Dite que vous devez retrounez en cours. Arrange toi pour le faire sentir aux autres il faut que tous comprennent sauf cet homme."

Elle acquiesa rapidement et je la sentis se concentrer à l'extrème, elle attrapa la main de Naomi à ses côtés et sembla appeler l'Esprit à elle. Les pointes de ses chevaux biquaient comme si ils étaient soumis à l'électricité statique. Je sentis l'Esprit près de moi quand Lyna le projeta sur toute la salle, ça ne pouvait être que cela. Et puis un message clair s'imprima dans mon esprit:

Faites sortir vos parents, Loshad le demande, ayez l'air normal, prenait une escuse mais faites les sortir.

Un message rapide, avec sur la fin une pointe de pression mélé à une force inflexible. Certains novices regardèrent dans tout les sens, abassourdi, ceux qui avaient compris nous jeter des regards entendu comme Amber, Demona, Eliana ou encore Elva.
Bien sur le Traqueur comprendait vite mais avec un peu de chance l'étau et la magie suffirait à le coinçer. Cerridwyn était prête au combat et les fils d'Erebus fairait leur devoir quoi qu'il arrive.
Quelque parents sortirent doucement, à tour de rôle comme si tout ce déroulait normalement. les conversations continuaient encore, les élèves qui avaient compris semblaient faire comme si de rien n'était. Suivant parfaitement le message. Ceux qui n'avait pas compris s'éfforcaient de faire comme si de rien n'était et de suivre le mouvement. Pourtant toutes ces personnes partant commençais à attirer l'attention. Un des professeurs de l'équipe nous sauva la mise, elle était près de la sortie et cria:

-Suivez moi, nous allons vous faire visiter le campus !

Les gens sortirent mais l'homme avança dans la direction opposé, il avait comprit, il poussa plusieurs personnes qui se rattrapèrent comme elles purent aux fils d'Erebus. Le cercle était brisé, la proie passa à travers les mailles du filet et couru vers la première porte, le couloir qui donnait sur les salle de cours, entre autre.

- Merde ! Suivez moi ! Criais-je.

Je le suivis en courant, Cerridwyn sur mes talons, quelques novices dont les filles et Fils de la Nuit, d'autres doué en magie et les Fils d'Erebus. Finalement, le faire prisonnier ne suffirait pas. Cet assassin ne s'enfuirait pas et je tenais absolument à ce qu'il paye pour tout ses crimes. Et je n'étais pas la seule...

- Attraper le coute que coute !

Quite à le tué ou le blesser gravement, voilà ce que je voulais dire...

Je ne faisait rien je m'ennuyait essayant de capter les discussion dès personne tout autour de moi. Je trouva Loshad elle se penchais vers euh... comment elle s'appelle déjà? Ah oui c'est Lyna la dirigeante des fille et fils de la nuit. Je comprit tout de suite de qui il s'agissait. Je ne savait pas comment je le savait mais mon instinct. Oui c'était mon instinct de survie, il m'ordonnait de sortir de cette pièce. Et quand cette ordre ou demande s'imposa à mon esprit je regardais, ne me demandais pas pourquoi, Lyna. Elle semblais Loshad et elle bizarre. Avant de m'attardais sur elle je tourna la tête vers cette ombre. Oui, je le surnomme l'ombre car, une ombre est glaciale comme la mort et c'est ce que lui représentait. Avant que je fasse une énorme bêtise et allais voir cette ombre pour lui posais une question stupide un professeur s'écria:

-Suivez moi, nous allons vous faire visiter le campus !

Mais toujours comme une pauvre imbécile je ne compris pas le sens des deux message et resta planté là. Quand je vit tout le monde avec leur parents sortirent je me dit
* C'est pour les parents et moi aucun ne vient me voir alors je ne suis pas obligeais de les suivre*Alors je restais planté comme un humain que Méduse aurait regardait. Comme une statue pour faire court. Alors tout se déroula très vite Ombre ce mit à marché du sens opposé des personne et à les bousculais, courut, ouvra une porte et s'introduit dans l'embouchur de celle-ci. *Mais c'est le couloir des salle de cours!*

- Merde ! Suivez moi !

C'était Loshad qui c'était écriais. Elle le suivi. Je la trouvait drôlement sympathique mais étant ici depuis je ne compris pas vraiment ce qu'ils avait contre lui. Et ce qui s'ensuivit des paroles fut vraiment très dur de les entendre de sa bouche.

- Attraper le coûte que coûte !

Une deuxième fois mon instinct s'imposa et termina à sa place.
* Quitte à le tuer je le veux*
C'était à peu près sa qu'elle voulait. Je restais plantais là pour voir ce qui allait ce passer. Je pourrait abattre une centaine d'homme si il le fallait pour voir la suite de cette histoire...

Loshad demanda à Lyna de passer un message, comme quoi le pouvoir de l’esprit avait parfois une très grande utilité…
Très vite, les élèves reçurent le message et firent quitter le lieu à leurs parents.
Cerridwyn s’était retournée pour voir la réaction de l’homme. Elle ne savait pas si Lyna avait raté son appel ou s’il avait deviné tout seul qu’il allait lui arriver des bricoles.
Malgré les fils d’Erebus qui l’encerclaient, il réussit à s’enfuir vers les couloirs où il y avait les salles de classes.
La professeur de sortilèges et enchantements parti à sa poursuite, sur les talons de Loshad.
Il était très rare pour la vampire de profiter de toutes ses capacités au maximum, elle attendait toujours une très bonne raison de le faire, et cette nuit, Nyx le lui en avait donné la possibilité. Que le traqueur aille dans cette direction l’arrangeait. Dans un virage elle doubla Loshad à toute vitesse, sa veste et ses cheveux voletés derrière elle. D’un seul coup elle disparut.
Elle avait ouvert sa salle de cours d’un grand coup, la porte avait claqué dans l’étagère placée derrière et fit tomber quelques fioles et livres au sol. Pour une fois elle s’en fichait bien. Pourtant en classe si un élève l’avait fait… Il n’aurait pas remis les pieds dans son cours avant un long moment.
Cerridwyn s’arrêta à peine devant son bureau pour ouvrir le tiroir, qui sous une force incontrôlée s’ouvrit de trop et finit à terre. Elle balança le contenant en bois du pied et saisit un couteau. De suite après, elle sauta par la fenêtre et arriva devant l’entrée, s’attendant à ce qu’il passe par ce chemin.
La pupille des yeux de la vampire s’étaient dilatés, on aurait dit que ses crocs s’étaient allongés. A présent lorsqu’on la regardait, il était évident que l’on avait à faire à un vampire.
Le criminel s’était retrouvé face à elle. Il se regardèrent à peine une seconde, même si la professeur eut cru que cela avait duré plus longtemps. Il eut à peine commencé son mouvement de demi-tour, que Cerridwyn s’élança vers lui.
A cause de Loshad qui arrivaient par la gauche et des élèves qui l’avaient accompagné il dut prendre le seul choix qui s’offrait à lui : Les escaliers qui menaient au sous-sol.

La vampire avait un air effrayant. Elle s’empêchait de lancer quelconque sortilèges, dans sa rage elle risquait de blesser ou bien d’entraver les autres derrière. Elle ne ferait que favoriser la fuite de leur ennemi.
Les escaliers débouchaient sur une très vaste salle, on en voyait pas le fond. A priori les souterrains s’étendaient sous toute la surface des bâtiments.
Cerridwyn essayait de se calmer pour pouvoir prêter main forte.
Les élèves devaient en profiter pour coopérer ensemble et le neutraliser. Cerridwyn voulait bien l’interroger, de toute façon les élèves ne pourraient pas le tuer.
Elle sourit de toutes ses dents, action imprévisible mais invisible dans la pénombre, elle s’arrêta. Les sous-sols étaient un allée sans retour. Elle garderait l’entrée.
Si il pensait pouvoir les semer dans les souterrains et repartir par-là, c’était raté.

"Arrêtez le..."

» La Nuit (Mortelle) des Parents
» Absence (de tous les membres)
» Lucius, l'inconnu de tous...
» Perdu parmi tous sa !!! [ Pv libre ]
» S'unir malgrès tous ce que pense les gens...[RP Nahan+ libre]