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Nom et prénom (avant d'être marqué):Ethan Richeval
Nom et prénom (après avoir été marqué): Ethan Carter
Age: 17 ans
Rangs:3em année / Préfet
Options choisies: Théatre et Astronomie
Description physique: Depuis ma plus tendre enfance, on n'a cessé de me répéter que j'étais grand et très musclé par rapport aux enfants ou aux adolescent de mon age. C'est surement cette force qui me permet une entrée chez les fils d'Erebus. Ma peau pâle est, je le sais très bien, commune à tous les vampires de la Maison de la Nuit et mes marques y ressortent parfaitement. J'ai des yeux très marrons, des cheveux blonds en bataille, hérité de ma mère, le visage assez carré, les pommettes hautes et une fosettes au menton. Je n'aime pas les couleurs criardes c'est pourquoi vous me verrais toujours habillé sobrement.
Nature de la Marque: Simple croissant de lune et signe tribal sous mon oeil droit et au-dessus de mon oeil droit.
Couleur et parfum de votre aura: Acier rouillé parfum matin d'hiver.
Description du caractère: J'ai toujours était d'un tempérament calme et serein, même quand j'étais petit, mes parents me disait souvent que j'étais mou à cause de mon habitude à ne pas m'agiter. Je suis gentil et je n'ai pas hérité du caractère molasson de ma mère comme ceux-xi me le répétaient, ni celui raleur de mon père. Je suis très travailleurs et attentif en cours, je ne veux pas compromettre mon avenir, je veux servir Nyx en devenant fils d'Erebus. Je suis assez courageux mais prudent, j'aime lire et faire du sport.
Histoire: -Tu veux encore du riz, mon petit chamalow?La voix fluette de ma mère, à l'autre bout de la table, fit monter en moi cette colère habituelle que je peinais à contenir. Je n'étais pas d'un naturel nerveux, je laissais la plupart du temps les choses et les mots glisser sur moi, sans y prêter une réelle attention. Mais ces petits surnoms du genre "chamalow", "nounours" ou encore "mollusque", prononcés avec le ton moqueur de mon père ou idiot de ma mère, commençaient petit à petit à m’énerver... Je me retins d'exploser, pourtant. Je pris une grande inspiration et répondis dune voix que je voulais calme et posée:
- Non merci, maman. Mais je t'ai déjà demandé de ne pas m'appeler comme ça, s'il te plait...Je pense que ma mère aurait rougis, comme à son habitude dans ce genre de situation, puis se serait excusée en bafouillant adorablement, et aurait engloutis nerveusement son assiette. Elle aurait recommencé, bien sur, mais je ne lui en aurais pas voulu: elle est si fragile... Voilà se qui se serait passé si mon père n'aurait pas éclaté d'un rire tonitruant et exagéré. Nous sommes restés un moment, ma mère et moi, à le regarder sans rien dire tandis qu'il riait à gorge déployée en tenant son gros ventre de bourgeois. Quand il eut enfin cessé, il s'essuya la bouche et dit en me parodiant grossièrement, avec une voix très aigüe:
- "Non merci, maman!", "Ne m'appelle pas comme ça, s'il te plait!",...Il se remit à rire tandis que je lui jetais un regard noir. Puis il se tourna vers moi et me dit d'un air supérieur que je lui connaissait bien:
- Ethan Richeval, tu as 14 ans, nom de Dieu! Quand vas-tu te décider à te comporter comme un homme? Ou tout au moins comme un garçon! Regarde-toi, on dirait une fillette!Ce fut le mot de trop. Sans réfléchir, je me levais en envoyant valser la chaise, attrapais mon manteau et sortis en trombe.
Je me mis à marcher dans la rue à grands pas, sans penser, sans chercher à me calmer, pendant un bon 3/4 d'heure... Je ne m'étais jamais mis dans un état pareil, et pourtant... Je ne regrettais rien. Ma mère, bien qu'un peu niaise, était adorable, et je n'arrivais pas à lui en vouloir de me materner ainsi. Mais mon père, ce nouveau riche, prenait la grosse tête depuis qu'il avait eu ce poste à hautes fonctions il y a quelques années. Je ne le reconnaissais plus, ne le supportais plus... C'est alors que je le vis. Lui. Immense, pâle comme la mort, et (détail qui me figea) arborant un croissant de lune bleu luisant sur son front. Je n'eut pas le temps d'esquisser un geste, il pointait déjà son doigt sur mon front:
"La Nuit t'a choisie ; ta mort sera ta renaissance. La Nuit t'appelle ; prête l'oreille à sa douce voix. Ton destin t'attend à la Maison de la Nuit !"J'avais déjà entendu ça quelque part, mais où? Alors qu'une brulure monstrueuse s'infiltrait en moi, je me mis à réfléchir à toute vitesse. Mon corps se raidit, ma respiration devint douloureuse, je me mis à tousser et m'écroulais malgré moi par terre. Alors que je me sentais partir, un mot me vint à l'esprit: Vampire...
Autre: Appartient à un Angora Turc blanc au yeux vert nommé Percy.