Rien n'est si facile...surtout quand on a quelque chose de pas net en tête...[PV Alex]

Les cours étaient finit, la nuit était déjà bien avancer. Je n’avais rien à faire, et c’était devenu une habitude pour moi. Je n’avais pas envie de parler à des gens, les novices étaient beaucoup trop sociable à mon goût. Je ne voulais pas d’ami, la solitude me suffisait amplement. C’est donc seul que je pris le chemin de la forêt de Nyx.

Je repérai un banc de pierre et mis assit, puis je me mis à dessiner. Les visages que j’imaginais prenaient vie sur le papier, grâce aux traits de crayon noir. Je réfléchis un instant, tournai la page, et me mis à écrire le scénario de ma bande dessiner. Je n’avais jamais été doué pour l’écriture, et je passai donc très rapidement au dessin en eux même.

Après plus d’une heure de dessin, mon crayon n’écrivait plus du tout, la mine était terminée. Je rangeai donc la quinzaine de planche dans une chemise verte, la mit sous mon bras et me relevai. Il fallait que je me souvienne de se lieu dans le futur, il était parfait, temps pour la tranquillité que pour l’inspiration et ma mère fantomatique ne me suivait pas ici. Je pris le chemin de la maison de la nuit, lorsque je sentis un choc. Violent. Quelqu’un m’était rentré dedans, et semblait avoir eu plus de mal que moi.

Je jetais un regard noir à la personne, en passant une jolie blonde, et poussai un léger juron. Ma chemise était tombée sous le coup, et les feuilles qu’elles contenaient tapissaient le sol. Heureusement qu’il n’avait pas plus depuis longtemps, elles ne furent donc pas tacher. Je me baissai pour les ramasser et n’accordait pas un regard à la jeune novice.

Il me jeta un regard noir mais cela ne m'atteind pas plus aucune émotions ou sentiments parvenant de l'extérieure entrer en moi il ramassa sa pochette de déssins sans même me jeter un quelquonque regard mais je le comprenais moi même mes déssins était plus que précieux et j'aurais bien assasiner celui qui me les aurais déterioré néamoins intriguer par son comportement je mit mon don en éveille et me releva d'un bon c'est alors que je fut heurter par un flux invisible de solitude, de souffrance que je ne put retenir un:

-oulah

il broyer du noir dit donc c'était le cas de le dire de toute façon se n'était plus mes affaire avant je me serais surement intérerser mais j'avais un plan auto-sucidaire a finir d'élaborer et j'avais comme seul allier mon ésprit et mon don si Tony n'arriver pas atrouver l'une de ses idée qui consistere a m'empecher de l'utiliser je dit alors:

-Excuse....

puis je ramassa mon Ipod qui avait voler en éclats au sol et commença a repartir quand une main m'éfleura...