Allons trouver ce s***** ! [Pv Alex]

Nous nous rendîmes donc aux archives de la ville. Comme toujours, le "surveillant" somnolait. Et comme toujours, j'allais sur son ordinateur, tapais le mot de passe soigneusement écrit sur le calendrier et recherchait les noms.
-Alors... Anne Shuester... 24 rue des Anges Blancs... joli nom pour une rue. Bref... Bob Cervandes... 6 avenue des Arbres en Fleur... c'est quoi ces adresses? Gabrielle Vandergrapht... 64 rue Hervé, et Laurie Morehed au 45 avenue Pearl Street. Bien!

J’avançai le visage baissé. J’étais le fruit d’une erreur. Je suivais la jeune novice dont je ne savais toujours pas le nom, comme un zombi, presque mort dans ma tête. Elle nous mena aux archives de la ville, s’assit face à un ordi et tapa le mot de passe.

-Alors... Anne Shuester... 24 rue des Anges Blancs... joli nom pour une rue. Bref... Bob Cervandes... 6 avenue des Arbres en Fleur... c'est quoi ces adresses? Gabrielle Vandergrapht... 64 rue Hervé, et Laurie Morehed au 45 avenue Pearl Street. Bien!

Je la regardai droit dans les yeux et murmura :

-Excuse moi, tu n’aurais pas dans ta famille une jeune femme nommé Selena ?

Bon ok sa n’avais rien à voir avec l’instant présent mais depuis que je l’avais vue elle me fessait pensé à ma trop magnifique Traqueuse.

-Et à propos moi c'est Alex Duncan.

-Excuse moi, tu n’aurais pas dans ta famille une jeune femme nommé Selena ?Et à propos moi c'est Alex Duncan.

Je réfléchis quelques instant.

-Pas que je sache... mais si tu veux, je peux faire des recherches sur elle, si tu as un nom de famille, se sera même encore mieux! Et moi, c'est Tony Micelli.

Je lui souris. Il devait tant souffrir, et je ne savais pas trop quoi faire pour lui venir en aide... alors le peu que je pourrais faire, je le ferai...

-Pas que je sache... mais si tu veux, je peux faire des recherches sur elle, si tu as un nom de famille, se sera même encore mieux! Et moi, c'est Tony Micelli.

Elle me sourit et je lui rendis. Quelque chose de bizarre pour moi, un sourire. Un des premiers depuis que j’étais ici….

-Non je n’ai pas de nom de famille, seulement le fait qu’elle te ressemble beaucoup et qu’elle est traqueuse….

Je lui tendis un dessin, un de ceux que je gardais presque toujours en poche.

-Non je n’ai pas de nom de famille, seulement le fait qu’elle te ressemble beaucoup et qu’elle est traqueuse….

Il me tendis le dessin d'une jeune fille très belle. Je le pris et sorti de mon sac une pochette plastique, dans laquelle je mis le dessin, puis dans une chemise jaune et enfin, le tout dans une pochette à rabat bleu.

-Je te le rendrais. Je ne peux pas te promettre que je vais la retrouvée, car je ne sais que peut de chose sur elle, mais je te promet de faire tout ce que je peux pour la retrouvé. On y va?

Je ne voulais pas le forcé, je pouvais aussi le faire seule, et je savais que tout cela était très dur pour lui....

Tony mit mon dessin dans une pochette plastique et me regarda

-Je te le rendrais. Je ne peux pas te promettre que je vais la retrouvée, car je ne sais que peut de chose sur elle, mais je te promets de faire tout ce que je peux pour la retrouvé. On y va?

Mes yeux étaient durs comme la glace. Le sang me montait aux lèvres. Je n’étais pas quelqu’un de sadique mais le ***** qui avait violé ma mère méritait une mort lente et douloureuse. Je me retournai vers Tony et répondis brusquement :

-OUI !

-OUI ! s'exclama-t-il.

Je l'attrapais par le bras et nous nous précipitâmes dehors. Nous nous rendîmes chez Anna Shuester en premier. Après lui avoir expliquer les faits, elle nous a appris qu'elle était entrer dans une chambre avec Bob Cervandes. Nous allâmes interroger Gabrielle et Laurie, qui nous dirent la même chose. Une fois sortis; je retins un instant Alex:

-Alex, écoute moi. Tout désigne ce Bob pour le moment, mais on a pas de preuve. Je sais que c'est très dur pour toi, mais je crois qu'il serait préférable que j'y aille seule. Tu te feras plus de mal qu'autre chose, et au moment où on sauras la vérité, ça risque de te faire plus mal encore. Je peux le faire seule. Crois moi. Tu souffres déjà assez, je t'en supplie, n'en rajoute pas.

Je croyais vraiment ce que je disais. Se torturer ne ferait qu'agraver les choses. Et je voulais lui éviter trop de peine. Sans compter qu'il voudrait sans doute tuer ce salaud, du moins, si c'était lui...

Nous fîmes différente maison mais à chaque fois je restais dans l’ombre, des anciennes amies de ma mère, qui n’avais pas fait un geste lorsqu’elle avait vu le dénommé Bob trainer la belle blonde dans une chambre. Tony et moi nous dirigions vers l’adresse lorsqu’elle me retient.

-Alex, écoute moi. Tout désigne ce Bob pour le moment, mais on a pas de preuve. Je sais que c'est très dur pour toi, mais je crois qu'il serait préférable que j'y aille seule. Tu te feras plus de mal qu'autre chose, et au moment où on sauras la vérité, ça risque de te faire plus mal encore. Je peux le faire seule. Crois moi. Tu souffres déjà assez, je t'en supplie, n'en rajoute pas.

Je la regardai froidement, mes prunelles brulantes.

-Non ! Je veux le voir, voir se salopard et le tuer de mes mains. Et tu ne me retiendras pas Tony. Il méritera sa mort, surtout si c’est moi qui lui inflige !

Je lui jetai un dernier regard noir et pressa le pas, dans la direction de l’adresse indiquer. Je frappai à la porte et se fut une grande et belle brune qui m’ouvrit. Je jetai un regard de profond dégout au marmot accroché à sa jambe droit et qui avait les mêmes yeux brumeux que moi avant de me tourner vers Tony.

-Bonjour madame. Je me nomme Alex Duncan et j’aimerais parler à un dénommé Bob Cervandes. Tout porte à croire qu’il habite ici. Et qu’il est mon père !

J’avais parlé sans une once de bonté dans mes yeux gris et froid.
Mes ongles enfoncés dans la chaire de ma main fessaient presque couler le sang.

-Non ! Je veux le voir, voir se salopard et le tuer de mes mains. Et tu ne me retiendras pas Tony. Il méritera sa mort, surtout si c’est moi qui lui inflige !

Puis, il se dirigea vers une femme et dis:

-Bonjour madame. Je me nomme Alex Duncan et j’aimerais parler à un dénommé Bob Cervandes. Tout porte à croire qu’il habite ici. Et qu’il est mon père !

Pourvu qu'il ne soit pas là, pourvu qu'il ne soit pas là! Il était là. Elle nous mena à la chambre et parti. Je me mis entre la porte et lui. Quitte à se qu'il me tue...

-Alex tu n'es pas un tueur. Ne t'emporte pas. Si il est coupable, crois moi, je serai l'une des première à réagir. Mais je sais que ta mère est là, et si c'est lui, elle aura peut-être des flashs de ce jour là. A ce moment là, on le saura. Et crois moi, un fantôme en colère peut te faire regretter de ne pas être mort. Et il faut être vigilent. Essayer de voir si il est défoncé. Ou si il à quelque part du G.H.B. C'est la drogue du viol. La drogue utilisée lors de cette soirée. Et j'ai l'intuition que celui qui a violer ta mère est celui qui l'a apporté ce soir là. Et je suis aussi convaincue qu'il continue d'en prendre, et d'en faire prendre aux autres.

La femme nous mena jusqu’à la chambre de son mari et nous lésa là. J’allais entrée, la rage commença à prendre possession de moi lorsque Tony se posta devant la porte m’empêchant de passer.



Je la regardai droit dans les yeux et hurla :


La rage déformai mes traits, elle n’avait pas du connaitre ça, le regard hautain de gens, l’adoption, l’orhélina. Elle qui avait du vivre dans un petit cocon de bonheur avant d’être marqué ne pouvait pas ressentir mes sentiments.

Mais les éclats de ma voix avait fait sortir un homme de sa chambre. Il possédait les vestiges d’une ancienne beauté, mais il semblait maintenant vieux. Lorsque mes yeux croisèrent les siens, si semblable, ses prunelles s’écarquillèrent.

-Alex ?! demanda-t-il

Trop interloquer qu’il sache mon prénom pour effectuer le moindre geste, je ne bougeai pas, Tony bloquant toujours le passage entre moi et l’homme.

-Pourquoi ne serai-je pas un tueur ! Tu ne sais rien de moi ! Même s’il était défoncé, je n’ai jamais connu ma mère à cause de lui ! Maintenant écarte toi de mon chemin, sinon il se pourrait bien que mon premier meurtre soit le tien ! Même s’il est défoncé, ou était défoncé, il mourra se soir.

-Alex ?!

Oups...

-Bon, OK, là, on est presque sûr que c'est lui, mais... si ce n'avais pas été lui et que tu lui avait sauter dessus, tu aurais tuer un innocent!

OK, j'avais l'air calme et détendue, mais je ne l'étais pas franchement... Je me tournais vers l'homme.

-Je crois que vous étiez à la fête de la promo de 1983, je me trompe?
-Non.

Pas très bavard...

-Et laissez moi devinez! C'est vous qui avez apporter le G.H.B, fait se défoncé tout le monde et violé Julie Delampre. J'ai tout bon? Pourquoi?

Sur le mur, derrière la tête de Bob, je vis d'inscrit IL N'ETAIT PAS DEFONCE. Il me dégoutais déjà depuis deux minutes, mais savoir qu'il avait fait ça en toute conscience, et non sous l'effet de la drogue me mis hors de moi.

-Vous êtes un être abject! Je le poussais violemment. Vous avez droguer tout le monde, et vous avez fait semblant de l'être vous aussi.

La solidarité féminine et le dégout me guidais. Cet appartement était un vrai taudis, et sous ma main se présenta une ceinture. Je la pris et commençait à serrer autour du coup du gars.

-Vous continuez n'est-ce pas? Où est-elle?
-Je ne vois pas de quoi vous parlez...

Il mentait. Il allait avoir très mal. Je me relevais d'un nond et lui envoyais non pas un mais trois coups de pied là ou ça fait mal, et il se mit à hurler.

-Alex, ferme cette maudite porte! vociférais-je. DITES MOI LA VERITE!