L'eau est une robe qui refuse qu'on la porte... [Pv Pierre]

L'eau est une robe qui refuse qu'on la porte...

Pierre m'avait laissé un mot dans mon casier l'invitant à venir le voir. Ca n'avait pas l'air urgent ou grave mais j'avais décidé de m'y rendre quand même. Les relations entre professeur et élèves étaient interdites, exception faite que Pierre et moi s'étions fiancé alors qu'il était encore en quatrième année et que notre relation était donc antérieure à sa "promotion"...
J'arrivais devant la porte de son loft, une porte blanche comme la neige, sa couleur préférée. J'avais profiter de l'heure du dernier repas pour me aller à ce rendez-vous, personne chez les professeur qui étaient apparement tous occupés ou au refectoire. J'avais aussi profité de cette heure pour être seule, j'évitais de m'afficher avec Pierre, ça ne faisait pas très modeste et faisait au contraire très [censuré]...
J'allais frapper à la porte quand celle-ci s'ouvrir, l'inconvénient avec les vampires adultes étaient que vous ne pouviez pas leur cacher grand chose et avec Pierre était qu'il arrivait à capter mes pensées même si il s'était jurée par loyauté et par confiance de ne pas les lire.
J'entrais et repoussais la porte avec mon pied, celle-ci claqua dans mon dos me laissant le temps d'admirer le visage du vampire qui comblait mon coeur. Les cheveux de jais un peu long et en bataille, la peau de marbre, les yeux intrigant, des lèvres sensuels...
Je commencais à divaguer, il fallait que je pense à autre chose sinon j'allais me laisser aller.
Je pris la main de Pierre dans les miennes et l'ammener à ma joue:
-Pourquoi avoir accepter ce poste de professeur ? Ca entrave notre relation... nous oblige à nous cacher... Murmurais-je avant de trouver ses lèvres...

J'avais mis un petit mot dans le casier de Lyna, l'invitant à un petit rendez-vous. J'avais un cadeau à lui offrir. Un cadeau plutôt volumineux que je n'aurais pu lui glisser discrètement lors d'un court. Quelque jours avait passés depuis l'assassinat de cette novice de deuxième année, un événement troublant puisque généralement les novices mourraient quand ils ne réussissaient pas leur Transformation. Transformation liée à la génétique...
J'avais donc choisi de passer le plus clair du temps dans mon appartement où j'avaix fixé le rendez-vous, je mangeais donc lorsque je sentis les pensées de Lyna à travers le mur. Télépathie. Seulement je refusais de lire ses pensées. Elle avait le droit à sa liberté de penser, je n'avais nul droit d'intervenir dans ses méditations personelles.
J'ouvrais la porte et lus la surprise dans ses yeux, elle avait l'avant bras levé et le poing sérré, pour frapper à la porte. Puis elle sourit, entra et repoussa la porte du pied. Elle prit ma main droite et la porta à sa joue, y posa la tête pour gouter au contact rassurant de cette légère étreinte tandis que de ma main gauche je caressais ces longs cheveux bruns qui avait encore poussaient, même si je la voyais quasiment tout les jours je notais ces petits détails qui me prouvait qu'elle vançait chaque jour vers l'échéance fatidique. La fin de sa Transformation ou la mort. Chaque jour que Nyx faisait, je priais la déesse de protéger ma petite prêtresse afin de ne pas avoir l'horrible douleur de la perdre.
A l'image de Roméo, je savais que si elle mourrais je ne suporterais pas l'idée de rester en vie dans un monde où elle n'était pas...
-Pourquoi avoir accepter ce poste de professeur ? Ca entrave notre relation... nous oblige à nous cacher... Murmura-t-elle.
-Pour pouvoir rester à tes côtés quoiqu'il arrive et savourer avec toi tout les instants que cette deuxième vie peu nous offrir de peur de te perdre...prématurément. Avouais-je après l'avoir embrassée.
Je lui teint la main et me plaçais à sa droite afin qu'elle voit la boite bleu plastifié et son ruban de soie de la même couleur. Un bleu pastel qui mettrait sa blancheur en valeur...

-Pour pouvoir rester à tes côtés quoiqu'il arrive et savourer avec toi tout les instants que cette deuxième vie peu nous offrir de peur de te perdre...prématurément. Avoua -t-il après mon tendre baiser.
Une âme de poète dans un coeur épanoui, même quand il parlait de choses dures il arrivait à tourner la phrase poétiquement. La transformation, le "prématurément" était le cas où la Transformation me tuerait avant d'atteindre le moment fatidique où je serais un vrai vampire. Car rien, ni personne, ni mes affinités ne privilégiait mon passage au stade de vampire adulte. Nyx ne reprenait pas ses cadeaux mais je pouvais très bien mourir...
Il se dégagea, m'offrant une vu sur son loft blanc, parsemé de touche rouge, modern et classe. Comme lui. Un grand paquet bleu attira mon attention, papier glacé bleu pastel, ruban de soie avec un jolie noeud de la même couleur. Un cadeau qui me rappelait étrangement la robe blanche de l'avant dernier bal de Noël et la robe étoilé de mes rituels...
Je souris et lachais sa main pour prendre le paquet. Je fis glissais ma main sur le papier aussi lisse que du verre, sans aspérités. J'ouvris la boite et découvris une magnifique robe bleu pastel, aussi claire que l'eau, avec des petites fleurs de tulles un peu partout qui habillait la robe. Je la sortis de la boite et tiquais. C'était un bustier, un bustier ou on verait mes marque sur mon homoplate, des marque que je m'éforcais de cacher... Il sourit et montra la boite.
En dessous de la robe il y avait un bolero bleu, très court et assorti qui cacherait mes marques...

Spoiler:

Elle aimait cette robe, je le voyais dans ses yeux, dans sa façon d'être et ses pensées dégagées une onde de bonheur et de joir immense. En y repenssant, je lui offrait souvent des robes ou des livres.
Elle la superposa à sa taille et admira la couture. Je l'admirais, elle était belle avec cette robe cleu pastel.
-L'eau est une robe qui refuse qu'on la porte mais cette robe est plus belle que les nuances de l'eau dans l'océan sur la plus jolie des sirènes... Soupirais-je en la prenant dans mes bras.
Je lui pris la main et repartis jusqu'à la porte, la boite dans les bras. Si elle restait trop longtemps ici elle risquerait d'avoir des ennuis.
-Ne t'éternise pas, en aucun as je vodrais qu'il t'arrive quelque chose ! Soufflais-je tandis qu'elle posait sa tête sur mon épaule...

[Très court, désolé]