Arrestations et Méprise... des Humains... [PV Lyne Dawson]

Le crepuscule teintait le ciel d'une lueur violacée quand je prénétrat dans la ville qui bordait la forêt où se trouvait notre chère Maison de la Nuit. D'un pas hatif, je me dépechat d'atteindre l'orée des arbres. je préférait que personne ne me voie, non pas parce que j'aurais peur de quelques voyou humains trainant le soir, mais parce que je n'avais plus de pommade à disposition et que lorsque l'on trainait le soir dans la ville, nous les vampires, les accidents étaient vite arriver. Mais pas comme vous le pensez, nous svaons nous contrôler, Nous. Mais plutôt parce que les habitants prenent peur et appellent la police en leur racontant que nous hantons les ruelles déserte, le sang aux lèvres. Non mais vraiment !
Mon pas rapide me porta près des arbres quand je perçut des gemissement de douleur et de peur noyés de larmes. Mon regard accidu scruta les alentours avant de trouver la cause de ce bruit : Dérrière un bosquet d'arbre, une jeune fille se faisait agresser et battre par quatre jeune garçon. Mon sang ne fit q'un tour avant que je ne me précipite au secours de la jeune fille. Un des homme me vit et ricanna, genre "nan mais ta vu nos muscles la meuf, tu fais pas le poids". c'est ce qu'il croyait. D'un geste brusque, je tira l'épée de la Déesse Nyx. L'éclat métallique brilla sur le clair de lune. Et la peur se teinta sur les visages des agresseurs. A leurs tours. Je pointa la lame vers l'un d'enrte eux, qui semblaiet être le chef. Et chaque personne présente pouvaient bien voir que ce n'était pas du toc...
D'un même mouvement, les quatre garçon s'enfuir du lieu en courant et hurlant de peur. Je m'approcha de la jeune fille. Celle-ci tremblait de plus en plus de peur aux fur e à mesure que je m'approchait. Je m'arreta. J'avais oublié que ma marque était bien visible sur mon front et mon cou, le reste cahcé par mes vetements. Pour elle je devais être un démon.
Je rengaina mon épée et soupira de la sotise des humains. Je m'apreta à prendre la direction de la Maison de la Nuit, ma maison, pour reprendre le poste qui était le mien, quand une sirène retentit, et l'on put entendre dire :
-Les mains en l'air, et on ne bouge plus !
Sur fond, le visage de la jeune fille se teinta d'un sourire. Et soudain elle cria d'une voix chargé de peur, feinte bien sur.
-Au secours messieurs les agents ! Cette femme ma menaçé et elle est armée !!
Aussitôt, des hommes me touchèrent, oh contact non désiré, et me lièrent les mains dans le dos avec des menottent, contact glacée. La jeune fille fut prise en charge par un agent, et en passant devant moi elle sourit et me cracha aux visages :
-va en Enfer, sales sorcière!
La colère s'insinua dans chaque veines de mon corps, dans chaque capillaires et dans chaque artères. Je n'était pas osuvent dans cet état, j'était plutôt de nature gentille et bienveillante. Mais là, c'était la goutte d'eau. Dans un feulement inhumain, ce que j'étais, je me libéra de l'emprise des menottes et bondit devant la jeune fille, qui eu la peur de sa vie.
-Comment osez vous, moi qui vous est sauvé...
Mais aussitôt, 3 agent me bondir dessus. Je me battre contre beaucoup de personne à la fois, mais mon corps ne résistent pas aux balles. Je montra les dents, et ils m'embarquèrent à pieds. A pieds, car ils avaient trop peur de me mettre en voiture, seul dérière. La tête haute, je marchais fièrement encadrés d'homme peureux et lache.
-Enlevez moi ces menottes, messieurs les agents.
-Tais toi la sorcière !
Mon visage s'assombrit d'un coup, chaque trait de mon visage se teintant d'une colère à peine maitrisé. Comment osait-il, ces humains, ces laches, ces personnes incalifiables qui méritaient d'être classé en bas de l'échelle de l'évolutions...

Se balader en ville le soir, avant que la nuit tomber, pour admirer le soleil se coucher sur la Loire est une bonne idée. Sauf quand ça tourne mal !
J'avais décider de faire un petit tour en ville avant de rentrer à la Maison de la Nuit. J'étais allée chercher une commande à la librairie du coin. Une commande que j'attendais depuis semaines. Une commande spéciale.
J'atteignais bientôt l'orée de la forêt où l'on pouvait encore voir le panneau "Propriété Privé". C'est alors que des bruits non loin attirèrent mon attention. Une voiture de police s'arrêta plus en avant. Des policiers en sortir et tentèrent de maîtriser une femme, avec difficultés, ils y parvinrent tout de même. J'entendis alors la conversation menée:
Les mains en l'air, et on ne bouge plus !
Sur fond, le visage de la jeune fille se teinta d'un sourire. Et soudain elle cria d'une voix chargé de peur, feinte bien sur.
-Au secours messieurs les agents ! Cette femme ma menaçé et elle est armée !! C'était une adolescente qui criait à l'aide. J'aurais pu me précipiter pour l'aider mais le ton dans sa voix m'indiquait clairement qu'elle mentait !
-Va en Enfer, sale sorcière! Sale sorcière ? Oulah, ça devenait sérieux. Je me demandais si, en fait, ce n'étais pas un vampire qui se faisiat embarquer.
-Comment osez vous, moi qui vous est sauvé... Cette voix ! Elle m'était familière, même si ça faisait quelque temps que je ne l'avait entendu. De ce fait, je n'étais pas sure.
-Enlevez moi ces menottes, messieurs les agents. Cette fois, j'en étais certaine. C'était la voix de notre grande prêtresse.
-Tais toi la sorcière ! Et ça c'était un homme, surement un des policiers.
Le groupe me dépassa et se rendit très vite au poste de police. Lorsqu'il passa je reconnus très vite notre grande prêtresse, c'était bien Alice, elle n'avait pas de fond de teint et on voyait ces marques contrairement à moi. Il fallait que j'intervienne, sinon ça deviendrait un massacre...

J'entrais dans le poste:
-Messieurs, les inspecteurs. La flaterie avait du bon parfois. Lyna Dawson, élèves à la Maison de la Nuit et dirigeante des filles de la Nuit. Puis savoir quel le problème ave notre diretrice, par Nyx ?! Un peu de menace aussi...

Pratiquement juste après que nous soyons arrivé au poste de police, la porte s'ouvrit à nouveaux pour faire place à une adolescente aux long cheveux et yeux brun. La jeune fille n'avait rien d'autre de particulier, ou en tout cas pour les humains. Car moi je voyais très bien les légères traces de pommade qui cachait une marque de la Maison de la Nuit, qui s'étendait d'ailleurs à l'oeil droit. Dans la pénombre, aparament la ville subissait une coupure d'élèctricité, je ne pouvais reconnaitre l'élève qui venait d'arriver, mais une seul élève possédait une marque du genre : Lyna Dawson, déirigeante des filles et fils de la Nuit. Elle ne m'accordat qu'un bref regard, même si elle s'atardat sur ma marque, signe qu'elle savait que j'était là et qu'elle nous avait donc suivit. L'inspecteur, resté au poste, regarda tout ce monde dans l'étroite pièce, alors qu'il n'y avait jamais de mouvement dans cette ville.

-Messieurs, les inspecteurs, Lyna Dawson, élèves à la Maison de la Nuit et dirigeante des filles de la Nuit. Puis savoir quel est le problème ave notre diretrice, par Nyx ?!

Les fameux "inspecteurs" furent long à comprendre que ce tenais devant eux une jeune vampire et d'après ses dires sa "directrice", qu'il venait d'arreter. En revanche, la fille qui c'était fait agresser fut beaucoup plus rapide et sa réaction ne se fit pas à attendre.

-Et voila une autre sorcière, crachat-elle, bouclez là monsieur l'inspecteur, ou elle vat vous sauter à la george et vous transformez en zombie !

L'inspecteur concerné semblat enfin se réveillé, bientôt suivit de ses collègues. Il me jeta un long regard, suivant des yeux ma marque traversant mon front, mes joues, mes épaules et se perdant dérrière mes vetements. Il revint à mes yeux froid , les affrontant. Finalement, il regarda Lyna et l'autre fille.

-Mademoiselle, s'adressant à cet dernière, je vous prirais de ne pas juger trop vite cette élève. Je vous rappelle que nous avons passé un accord avec la Maison de la Nuit. Ecoutons donc la directrice de l'établissement nous donnez sa version.

Apparement, il avait déjà entendu une version de l'histoire, surement par telephone. Je soufflat de soulagement. L'inspecteur semblait être de notre coté, même si cela allait être dure de le convaincre du faux témoignage de la fille.

-Merci monsieur l'Inspecteur. Je n'était que de passage en ville car je rentre d'un long voyage en pays étranger et je voulais rentrée au plus vite à la Maison de la Nuit. J'était arrivé à l'orée de la forêt quand j'ai entendu des gemissement de douleur et de peur. Bien sur, je n'allais pas passez mon chemin, car une personne était apparement en danger. Je me suis donc dirigée vers les bruits et j'ai vue cette jeune fille se faire agréssé par quatre jeune homme. J'ai aussitôt dégainé mon épée, offerte par la Déesse Nyx, et menaçée les quatre homme. Prenant peur, ils sont partit et vos agents sont arrivés juste après. Et contre toute attente, cette fille a prétendu avoir été attaqué par moi-même, ce qui est un comble. Après cela, vos agents m'ont injuriez et embarquez.

Le silence se fit. Pratiquement tout les regard étaient fixés sur mon épée qui pendait à ma ceinture. Les policiers venait apparement de la remarquer, comme si la Déesse l'avait caché aux regard jusqu'à ce que je site l'arme. Finalement, chaqu'un se réveillat.

-Merci de votre témoignage. Mais il vat falloir passé devant le juge, car c'est votre parole contre la sienne.

La situation se compliquait, car l'unique juge de la ville pouvait être corompue. Il semblerait que je doive utiliser l'un des pouvoirs que la Déesse m'a accordé, l'affinité des espirt, et peut être même aussi l'affinité des sentiments.


[je te laisse le choix : tu préfère que l'on reste aux commisariat ou que l'on sorte et faissions autre chose ? ]

Mon arrivée était surprenante, du moins pour les humains, qui eurent du mal à omprendre mes paroles et à sortir de leur léthargie. Ce ne fut pas le as de cette stupide humaine qui osez, premièrement insulter notre grande prêtresse, élue de Nyx, puis enfin, m'insulter, moi dirigeante des filles de la Nuit, élue de Nyx par la même occasion... (Grace détaignait sur moi, je commencais vraiment à dédaigner les humains, je soupirais discrètement).
-Et voila une autre sorcière, crachat-elle, bouclez là monsieur l'inspecteur, ou elle vat vous sauter à la george et vous transformez en zombie !
Si je n'étais pas d'un naturel calme et altruiste, je l'aurais tuée sur place, elle commencait vraiment à me chauffer les nerfs ! De plus si cette discussion se prolongeait, je serais en retard en cours, et ce n'étais pas le moment...
-Mademoiselle, s'adressant à cet dernière, je vous prirais de ne pas juger trop vite cette élève. Je vous rappelle que nous avons passé un accord avec la Maison de la Nuit. Ecoutons donc la directrice de l'établissement nous donnez sa version.
L'inspecteur reprenait enfin raison, c'était une bonne chose, il était finalement peut-être de notre côté. Je dévisageais Alice qui entâma son réit le plus simplement du monde. Tout les faits étaient justes, j'en étais sur, mais comment leur prouver ? Leur dire que lorsque j'entendais la voix de cette jeune insolente, je savais qu'elle mentait ? Ce serait stupide !

-Merci monsieur l'Inspecteur. Je n'était que de passage en ville car je rentre d'un long voyage en pays étranger et je voulais rentrée au plus vite à la Maison de la Nuit. J'était arrivé à l'orée de la forêt quand j'ai entendu des gemissement de douleur et de peur. Bien sur, je n'allais pas passez mon chemin, car une personne était apparement en danger. Je me suis donc dirigée vers les bruits et j'ai vue cette jeune fille se faire agréssé par quatre jeune homme. J'ai aussitôt dégainé mon épée, offerte par la Déesse Nyx, et menaçée les quatre homme. Prenant peur, ils sont partit et vos agents sont arrivés juste après. Et contre toute attente, cette fille a prétendu avoir été attaqué par moi-même, ce qui est un comble. Après cela, vos agents m'ont injuriez et embarquez. Expliqua donc Alice.

-Merci de votre témoignage. Mais il vat falloir passé devant le juge, car c'est votre parole contre la sienne. Répondit l'inspecteur après un long silence.
Et, merde, ça se compliquait ! Si ill fallait faire intervenir le juge, s'en était fini. Je le connaissais, où plutôt, ma mère le connaissait par le biais d'une amie. Ce juge était une calamité qui haïssait les vampires jusqu'à la moëlle. Il fallait une nouvelle fois que j'intervienne, mais comment ?
Je me rappelais alors comment j'avais réanimer Alliahn, ma camarade de chambre, avec le pouvoir des éléments.. Peut-être que si nous utilisions l'esprit nous arrivions à lui délier la langue pour qu'elle dise la vérité.
Le seul problème s'était proposer cette idée à Alice. Je me disais alors que si je pouvais voir des choses en touchant le coeur des gens, je pouvais essayer de leur en faire comprendre...

Je me raprochais d'Alice et posais ma main gauche à la naissance de son cou, au niveau de l'épaule, pile sur ses marques. A défaut de coeur, les Marques de la déesse pourrait servir comme celui-ci. Je me concentrais donc de toute mes forces afin de lui "soumettre" mon idée. Si Pierre avait été là, cela aurait plus simple, lui qui pouvait parler dans la tête des gens...
Alice me dévisagea et aquiésa...

Apparement, une entrevue avec le juge ne l'enthousiamais pas vraiment, elle avait l'air de savoir qu'elle genre de personne était-ce, et quelque chose me disais qu'il ne serait pas en ma faveur. Et puis nous n'avions pas de temps à perdre. Lyna parut réfléchir à la question pendant quelques instant seulement, avant de trouver une solutions.
Lyna s'aprochat de moi, sous un silence de plomb et sous le regard de tous, qui pour la plupart était au aguet au moindre signe de geste brusque, pour par exemple s'emparer de mon épée, que personne n'avait oser me prendre. Comme si Lyna allait faire cela... Elle s'approchat donc de moi et posa sa main au creux de mon cou, en plein sur un symbole énigmatique de la déesse. Elle se concentra, et d'un coup, un flash me traversat l'esprit. Il fut d'une étonnante courtée, mais je sentie une idée au millieu de tout ce blanc.[/i]
La vérité grâce à l'esprit.
[/i]Je compris tout de suite, puisque j'avais déjà l'idée en tête. Je regarda Lyna, étonné qu'elle aille eu cette idée, alors qu'elle n'avait pas vraiment une grande affinité sur l'esprit, qu'elle s'en souvienne étant surprenant. Mais pourquoi pas. Je lui souris et aquiçat. Je lui saisit la main et la retirat doucement.[/i]

-Merci de ton soutien, Lyna. La Déesse nous voie et nous a envoyé son aide.

Ces paroles étranges pour les humains furent normalement bien comprise par Lyna. Je luis souris une nouvelle fois puis regarda les policiers. Je regarda chacun d'entre eux, ce qui les rendit mal à l'aise, puis mon regard revint sur la jeune fille, qui se tortillat sous mon regard d'acier. J eme détendit et lui souris, ce qui l'inquiéta plus encore.

-Messieurs, puis-je voir en entrevue privée Mademoiselle ? Peut être trouverons nous un accord et n'aurons nous pas à dérangez Monsieur le Juge.

ILs semblèrent réfléchir à cette éventualitez, qui il faut le dire les arrangeraient, mais ils n'avaient pas apparement envie de me laisser seul avec la jeune fille. Surtout que j'avais toujours mon épée à mon coté. Et qu'ils l'osaient pas me le faire remarquer, par pur peur. D'un soupir, je pris l'initiative. Je la retirat et la tendit à Lyna, la lame étendue sur mes mains. Celle-ci la prit, et les policiers aquièsèrent et me montrèrent un bureaux à coté, surement celui de l'inspecteur. Je m'y engouffrat, suivit de la jeune fille. Le silence s'installat de nouveaux.

-Allons, vous savez que je ne vous fairait pas de mal.
-Sale Sorcière !

Cela commençait vraiment à m'énerver, ces sorcières. Et cette fille aussi. Je odis dire que ma colère est souvent retenue, et que je ne connais pratiquement jamais de débordement. Mais là, c'en était trop. Je pris la jeune fille par la gorge et la plaquat contre le mur dans un fracas étourdissant, la colère déformant mes traits.

-Tu n'avais aucune raison d'avoir peur de moi... Mais maintenant si, j'en est assez de geimades, viles créatures !

La jeune fille commençait à manquer d'air, et ses gémissements me ramenèrent à la raison. Dans un soupirs, je la lachat et elle retombat au sol. Rares étaits les fois où je perdait contrôle de moi même, cela m'était arrivé que quelques fois en 900 ans. Mais cela était terrible quand cela arrivait. Une chance que je sois revenue à moi. A coté, c'est le silence. Avec le vacarne que j'ai fait, soit Lyna les retient, sois ils on étés distraits. ou alors la pièce est insonirisé... Je me penchat sur la fille et d'un geste lui remonta le monton. Puis ma main vint se poser sur son front. Et la magie opérat.

-Souvient-toi de la peur...
et à partir d'aujourd'hui,
tu ne diras aucun leur,
Mais que la vérité de la nuit...

Elle se relevat, me regarda craintivement, et sortit de la pièce. je resta en arrière pour remettre un peu do'rdre.Quand je ressortit, les policiers semblait assez en colère.. ocntre la jeunef fille. Elle avait dit la vérité. ils me saluèrent respectivement.

Elle me sourit et aquiésa. Puis doucement elle sasit ma main et la retira.
-Merci de ton soutien, Lyna. La Déesse nous voie et nous a envoyé son aide.
Alice avait comprit, quandd j'avais touché ses marques j'avais entraperçue la même idée, je souris intérieurment. Alice dévisagea tous les humains puis s'exprima:
-Messieurs, puis-je voir en entrevue privée Mademoiselle ? Peut être trouverons nous un accord et n'aurons nous pas à dérangez Monsieur le Juge.
Encore une fois, je souris intérieurement, une idée pratique qu'avait eut Alice, car le juge avait horeur d'être dérangé, surtout le soir et il aurait laissé Alice pourir en prison pendant quelques jours, ce qui, bien sur, aurait été une énorme erreur !
Ils réfléchir un instant puis la laissèrent entrer dans le bureau de l'inspecteur. Mais avant, Alice me tendit l'épée de Nyx, qui, sans que les policiers le remarque, me fit frissonner et picoter mes Marques. C'était bien l'épée de Nyx, il n'y avait auun doute, la tenir dans mes mains était à la fois apaisant et grisant, comme se sentir entière.
La jeune et stupide humaine la suivit, la porte se referma et le silence revint. Pendant ce laps de temps les policiers s'occupèrent des affaires courantes trainant sur leurs bureaux, pendant que moi je prenais un air perdu dans le vagues comme si j'attendais en réfléchissant, alors qu'en réalité j'écoutais ce qui se passait dans la pièce à côté.

-Allons, vous savez que je ne vous fairait pas de mal.Entendis-je, reconnaissant Alice.
-Sale Sorcière ! Insulta une fois encore l'humaine.
Puis, j'entendis un bruit bizarre, comme quelqu'un qu'on soulevait avec force et violence. Apparement, ça devenait violent et bientôt ça serait bruyant.

Je soulevais alors l'épée et pendant que personne ne regardait, poussais une des lampes d'un des bureau juste à côté de moi. Elle s'étala au sol avec des bruits de métal contre le carrelage et de verre brisait. Qui couvra l'énorme fracas de dérrière, j'avais vu juste et je venais de couvrir Alice. Quand j'y repense, je crois que c'est l'épée qui a guidé ma main et non ma main qui a guidé l'épée...
Ils ramassèrent en silence, tandis que je prenais un air désolé, j'étais une bonne comédienne quand je voulais, ou alors Grace détaignait vraiment sur moi, je souris intérieurement à cette pensée.

-Tu n'avais aucune raison d'avoir peur de moi... Mais maintenant si, j'en est assez de geimades, viles créatures !
-Souvient-toi de la peur...
et à partir d'aujourd'hui,
tu ne diras aucun leur,
Mais que la vérité de la nuit...

La jeune fille ressortie, raconta tout, toute la vérité, avoua qu'elle avait menti. Les policiers l'enguelèrent, dérangé pour rien, embêté pour rien, honteux vis-à-vis d'Alice. Celle-ci ressortit et je lui souris, tout était bien qui finissait bien. Nous partïmes en silence...